1. Sophie à l'EHPAD (5)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... étions en vue du bâtiment d’incarcération des délinquants sexuels.
    
    Les délinquants sexuels récidivistes
    
    Nous traversâmes le bâtiment et passâmes devant des dortoirs situés de part et d’autre du couloir qui menait au bureau de la direction.
    
    Ça ressemblait à ce que l’on voyait dans Voyage au-dessus d’un nid de coucou.
    
    Les délinquants sexuels récidivistes donnaient plutôt l’air de demeurés.
    
    Ils étaient habillés d’un pyjama blanc et d’un haut du même tissu et de la même couleur, enfilé par la tête, sans bouton, avec des manches courtes, sûrement pour un problème de sécurité. Certains d’entre eux avaient le sexe qui pendait hors de la fente de tissu qui servait de braguette. D’autres encore, se masturbaient, comme par habitude. Ils ne bandaient pas tous. J’en remarquais un qui s’astiquait frénétiquement la bite, c’était impressionnant. J’avais mal pour lui.
    
    Arrivée dans le bureau, Maîtresse Mireille nous présenta à son amie Régine qui dirigeait le centre et à son homme de confiance, Monsieur Régis.
    
    Elles parlèrent un moment du « bon vieux temps », de leurs études et du fait qu’elles ne se voyaient pas assez. Maîtresse Mireille lui expliqua plus précisément ce qu’elle attendait de mon immersion dans le centre. Elles avaient visiblement déjà évoqué ma venue ici.
    
    J’étais toujours surprise d’entendre faire mon panégyrique. Elle était en verve, mais par moments je pensais assister à mon éloge funèbre. Elle avait vraiment un grand sens de l’empathie. Toutes mes ...
    ... dispositions étaient évoquées et je rougissais.
    
    C’est vrai que j’avais une capacité énorme à la soumission et que l’abandon de mon corps n’était pas pour moi un vain mot. Les instructions étaient claires : je devais les appeler Directrice Régine et Monsieur Régis, si je leur adressais la parole.
    
    Bien évidemment, je dus me mettre à poil et c’est Charles qui offrit une mise en situation de ma chatte, de mon trou du cul et de ma poitrine surprenante avec ses tétons démesurés. Il écartait, soupesait, distendait, tirait, tournait, bref vantait la marchandise que j’étais dans ce bureau. Ils pouvaient tous et toutes avoir un panorama en relief de ma plastique interne, vu qu’il m’avait fait monter sur la chaise pour que je fasse mieux mon show, me présente. Le terme le plus proche aurait été : me montre. Chacun pouvait voir mon aptitude au sexe à l’humidité qui tapissait mes lèvres.
    
    Monsieur Régis se leva et s’approcha pour tester lui-même la marchandise. Il la trouva à son goût. C’était toujours ça ! Les bonnes grâces ne sont jamais à refuser. J’étais dans un environnement inconnu, voire hostile et plaire était toujours de bon augure pour s’assurer un soutien possible.
    
    Directrice Régine n’était pas en reste et, m’enfonçant trois doigts directement dans la chatte, testait mes capacités à rester les yeux grands ouverts en la regardant, tout en me masturbant devant les autres.
    
    Ça faisait un bruit de clapotis qui brisait le silence du bureau.
    
    N’y tenant plus, je fermai ...
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