1. Sophie à l'EHPAD (5)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... décalage avec la musique.
    
    Je me demandai si l’on voyait ma cyprine couler. Un vrai régal, cette punition ! J’adorais ça, c’est moi qui menais le jeu, Directrice Régine et Monsieur Régis ne s’en apercevaient pas, mais je pense que Charles n’était pas dupe.
    
    Directrice Régine se régalait de pouvoir me donner le martinet sans que je rechigne. Je voyais la petite flamme de perversité s’allumer dans ses yeux et j’aimais ça.
    
    J’étais en eau, de transpiration et d’orgasmes à répétition. Allongée sur le sol, j’étais incapable de bouger. C’est Charles qui me transporta jusqu’à mon lit.
    
    Je m’endormis non pas avec le pouce de Charles dans la bouche, mais avec sa bite toute recroquevillée. C’était romantique, je faisais des rêves.
    
    Le matin, il était 10 heures quand je me réveillais, j’avais dormi comme un loir et j’avais une faim de loup. Charles me donna ma douche, mais je ne coupais pas à un lavement à la poire un peu improvisé. Et nous allâmes déjeuner. Il n’y avait personne dans le réfectoire et je me régalais de pain frais et de confiture de fraise.
    
    Charles avait reçu des ordres me concernant. Je ne comprenais pas grand-chose à ses explications. Monsieur Régis qui venait aux nouvelles m’expliqua le test du jour.
    
    Ça me semblait complètement improbable et inintéressant pour leurs expériences, mais j’obéissais.
    
    Directrice Régine m’installa dans un bureau de consultation avec tous les instruments réservés à cet endroit.
    
    J’étais assise sur un tabouret en fer, un ...
    ... stéthoscope autour du cou, un bonnet blanc avec une croix rouge dessus sur la tête, des chaussures à semelles épaisses et aux pieds, des chaussettes montantes, blanches également.
    
    J’étais supposée représenter l’archétype de l’infirmière pour les détenus pour juger de l’effet « blouse blanche » sur les détraqués sexuels...
    
    Ceux-ci étaient en rang devant la salle vitrée et je devais leur faire passer une visite médicale.
    
    Ils n’avaient pas le bas de leur tenue : uniquement le haut, ce qui ne cachait pas grand-chose.
    
    Pour certains, leur sexe dépassait entièrement, pour d’autre c’était juste le gland que l’on apercevait.
    
    En érection ou pas, toutes ces bites réveillaient mon instinct gourmand.
    
    Directrice Régine qui avait pris goût au martinet, rectifiait ma façon d’être assise à petits coups sur mes cuisses. Je devais avoir les jambes à 180 degrés, pour que les sujets soient en état d’excitation, sinon le test aurait été faussé. J’obéissais, mais pas trop, pour voir si elle réitérerait la punition. Maîtresse Syl me manquait !
    
    J’avais gagné ! Elle frappa plus précisément et plus fort mes seins. Un sourire de plaisir sur mon visage ne lui échappa pas. Elle passa le manche du martinet sur mes lèvres entrouvertes. Il était humidifié par ma cyprine déjà abondante.
    
    Au premier homme, elle m’expliquait ce que je devais faire.
    
    Il se positionna entre mes jambes, son sexe était à la hauteur de mon buste. Je devais soulever sa bite d’une main et passer l’autre sous ...
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