Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... arc...

Divin ! j’adorais que l’on me regarde quand je me faisais reluire.

Je tombais en chien de fusil et Charles savait ce que ça voulait dire. Il m’emmena à la douche pour me récurer et me coucha doucement sur mon lit où je m’endormis comme un bébé.

En soirée, je refis surface et me remis d’aplomb en faisant un vrai repas à la table des dirigeants. Charles ou Maîtresse Syl avaient dû œuvrer pour faire savoir que je devais avoir une nourriture équilibrée.

Bien sûr, j’étais assise entièrement nue sur un tabouret placé sur une petite estrade et je tenais mon assiette dans mes mains positionnées sous ma poitrine, Charles se chargeant de me donner la becquée.

Les hommes qui dînaient avaient leurs regards braqués en permanence sur moi, la position indiquée et la mise en place par Directrice Régine, qui avait elle-même placé mes jambes et leur angle d’ouverture, leur permettaient un spectacle permanent.

Charles aimait à faire tomber quelques aliments pour pouvoir les récupérer sur mes seins ou mes cuisses. Je connaissais ses petites habitudes et les appréciais fortement. Il y avait une grande complicité et une empathie réelle entre nous. J’étais désolée de ne pouvoir le faire jouir plus souvent, mais je crois qu’il compensait ce manque par une démarche intellectuelle forte. Il essayait de se faire comprendre auprès de Directrice Régine et elle s’adressait à moi pour traduire les gestes de Charles.

— Il vous dit que je dois chanter la chanson de l’Esclave de ...

... Serge Lama.

La réponse vint directe et cash !

— Petite dévergondée ! Tu dois me dire Directrice Régine quand tu me parles et employer un ton condescendant. Tu vas être punie et en plus de chanter, tu vas danser et tu auras toujours les jambes écartées, que les hommes voient ta chatte baveuse.

C’est vrai que j’avais répondu un peu sèchement, mais je me demande si je n’avais pas fait simplement exprès de la provoquer.

Je me mis au centre de la pièce et Charles fit jouer la musique sur son smartphone. J’entamai la chanson et commençai à danser en respectant les directives données.

Monsieur Régis qui était sorti revint avec un martinet qu’il donna à Directrice Régine.

Je dansais en chantant et je reçus des coups de martinet, sur les fesses, dans le dos, sur les seins et entre mes jambes écartées. Les lanières atteignaient ma fente en s’incrustant dedans. Plus d’une fois, mon clitoris était agacé et sortait de son capuchon protecteur. C’était un délice à chaque coup entre mes cuisses ! J’avais des décharges électriques, des mini-orgasmes à répétition.

Dans un harem byzantin

Où pour trouver le paradis

Je m’étais déguisé en chien

Une esclave m’a dit

Moi je voudrais des perles lourdes

Des perles noires des émaux

Être muette et presque sourde.................

La chanson achevée, je la repris aussitôt en dansant de façon de plus en plus suggestive. Le smartphone de Charles avait du mal à me suivre et je dus ralentir les paroles qui étaient en ...