1. La ligne rouge


    Datte: 19/01/2019, Catégories: fh, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, amiamour, Auteur: Lavande, Source: Revebebe

    ... terriblement excitée, j’aime quand il s’enfonce en moi, j’aime sentir son membre me prendre, m’assaillir, me conquérir.
    
    Stephen murmure des mots doux, et caresse mes fesses rebondies, tandis que nous allons plus vite encore.
    
    Il me fait tellement de bien… je n’ai plus envie de bouger, je suis si heureuse, si comblée, en cet instant, je n’ai pas envie de me réveiller…
    
    Pas envie de me réveiller…
    
    Pas envie… Pas envie…
    
    Claboum !
    
    Je sursaute dans mon lit, hagarde, n’y voyant rien dans la lumière qui déferle de la fenêtre. Le rideau est mal tiré. Je sentais bien la chaleur du soleil sur ma peau ! Désorientée, je reste un instant sans bouger. J’ai rêvé de Stephen. Stephen ! J’y vois de moins en moins clair, maintenant. Je referme les yeux. Par bribes obsédantes, je revis mon rêve érotique. Mes sens sont en feu. Mon bas-ventre me fait mal tant il a réellement désiré cette pénétration qui n’est jamais venue. Petits bruits autour de moi. Je me redresse et jette un regard assassin à ma chatte qui se promène, en toute innocence, sur le parquet de ma chambre.
    
    Saleté de chats qui savent ouvrir les portes !
    
    Nina bondit avec une grâce toute féline sur ma couette, et vient ronronner contre mon bras, me toisant de ses doux yeux dorés en amandes. Un peu interrogatifs, comme si elle se demande si je suis de bon poil.
    
    Mécaniquement j’avance la main pour la caresser, mais je suis toujours atrocement déçue qu’elle ait interrompu un rêve aussi réaliste – et ...
    ... intéressant…
    
    — Nina, grommelé-je, t’as vraiment beaucoup de chance que je t’aime.
    
    Je la prends contre moi, l’embrasse, puis la dégage de la chambre, et reviens me coucher. Brûlant de désir rentré, j’essaie de me détendre quelques minutes, mais je n’y tiens plus. J’ouvre le tiroir de mon chevet et en sors mon vibromasseur.
    
    Les images et les sensations de mon rêve sont encore si présentes dans ma tête que je n’ai aucun mal à me replonger dans l’ambiance électrique de mon corps à corps défendu avec Stephen. Paupières closes, je souris, et me laisse guider vers le plaisir.
    
    — Tu as pris le catalogue ?
    
    Je me retourne vers Romain, un peu agacée.
    
    — Oui, bien sûr. Tu n’as pas vu mes gants ? Bon sang, il fait moins dix, ou quoi ! Je gèle !
    
    Il hausse les épaules et ouvre le portail coulissant dans un grincement désagréable. Je farfouille dans mes poches à la recherche de mes gants insaisissables. Pas moyen, je ne les ai pas. Pendant que Romain sort la voiture du garage, je retourne à la maison. Je suis en train de chercher dans la penderie quand mon portable émet un bref bip-bip dans mon sac.
    
    Je prends mon téléphone, énervée, et me calme aussitôt en voyant que c’est un texto de Stephen. Il me demande comment je vais. Je souris et range mon portable dans mon sac à main. Après cinq minutes d’intense recherche dans le fouillis du bas, je finis par retrouver mes gants sous le casque de Romain. J’hésite à répondre à Stephen tout de suite. Après, je ne pourrai qu’une fois Romain ...
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