La ligne rouge
Datte: 19/01/2019,
Catégories:
fh,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
amiamour,
Auteur: Lavande, Source: Revebebe
... l’amour…
— Antoine… murmuré-je.
J’ouvre les yeux, surprise du feu de sa bouche, soudain, qui possède la mienne avec une avidité dévorante. Ce n’est plus Antoine. L’homme qui m’embrasse éperdument, c’est Stephen. Je m’éloigne un peu, haletante, et sans manifester davantage de surprise, je rampe contre son corps nu. Stephen ne porte qu’un boxer rouge, déformé par une belle bosse qui me fait immédiatement envie.
Je sens ses mains caressantes saisir des mèches de mes cheveux, tandis que je soulève son boxer et me penche pour embrasser son sexe bandé. Il est dur, chaud, j’ai envie qu’il m’empale, qu’il me fasse crier de plaisir… Mais pas tout de suite, pas encore.
La peau de Stephen est douce et ferme sous mes doigts. J’enroule ma langue autour de sa tige fièrement dressée, la lèche de haut en bas, longuement, puis enfonce son gland dans ma bouche et me mets à le sucer avec gourmandise. Stephen commence à gémir, à se tendre sous moi.
Au bout d’un certain temps, je me redresse, repars à la conquête de sa bouche. Ses yeux, d’un pâle gris-vert, luisent d’une envie déferlante, ils m’implorent presque de ne pas renoncer, d’aller jusqu’au bout de nos fantasmes.
J’ai de plus en plus chaud. Nous nous frottons l’un contre l’autre, bouches reliées, je soulève ma jambe pour que Stephen se glisse entre mes cuisses. Tout de suite, je sens ses doigts pénétrer en moi, bouger avec adresse, animés d’une certaine impatience. Un grand frisson me parcourt. Je ne porte soudain ...
... plus de robe, je suis toute nue contre lui, enfiévrée, échauffée, et mes seins gonflés, presque douloureux, se pressent contre sa poitrine hâlée. Ses tétons érigés effleurent la peau sensible de mon buste, je suis électrisée.
La frénésie nous gagne. Je lui ouvre les jambes plus grand encore tandis que je roule sur le dos. Stephen me surplombe, me contemple, souriant, les yeux brillants, ses cheveux bruns en bataille. Sa légère barbe m’attire, je pose les doigts sur son menton, le palpe, souriante, me redresse brièvement pour frotter mes lèvres contre sa rugosité. Stephen happe ma bouche de la sienne, de sa langue en visite l’intérieur. J’en ai le souffle coupé.
Puis, échevelée, je retombe sur le matelas mou. Stephen parsème mon visage de baisers tendres. Je glisse mes mains sur la peau de son ventre crispé. Son boxer a disparu lui aussi. Stephen prend appui de part et d’autre de ma tête et commence un long mouvement chaloupé des hanches. Je sens son membre dressé frôler ma toison, puis l’homme s’appesantit sur moi et d’un coup de reins me pénètre. Je le sens en moi, dur, fort. Je vais au-devant de ses poussées, l’accueillant en moi avec un râle, les yeux violemment clos.
Je brûle toujours. Laps de temps.
Mii-yaou.
Nous ne sommes plus dans la même position. Je suis sur le ventre et Stephen est derrière moi ; il s’enfonce doucement en moi, je sens ses doigts agripper mes reins comme si sa vie en dépendait. Ses butées m’arrachent des cris de plaisir. Je me sens ...