Esclave
Datte: 16/01/2019,
Catégories:
fh,
grossexe,
humilié(e),
contrainte,
facial,
pénétratio,
sm,
attache,
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... un peu mieux que je fus de nouveau convoqué dans le parloir vitré.
— Tu es très demandé, dégénéré. Grâce à toi, la prison sera bientôt dorée…
— Mais je ne sais pas si c’est une bonne chose pour toi, me confirma, cynique, une autre surveillante.
Cette fois, ce n’était pas Alys, et je ne fus pas rassuré de découvrir Mazela, la grosse exaltée qui me sautait la première dessus dans les ignobles soirées de Dame Heline.
— Oui ! C’est formidable ! Ah, il est affreux, vous ne trouvez pas ? Affreusement désirable, d’une certaine façon… Hmmm, j’en dégouline déjà… Je l’achète !
Les surveillantes qui lui faisaient face se questionnèrent un instant des yeux.
— Ce n’est pas prévu, Dame Mazela. La mise en liberté de dégénérés de type Y est interdite.
Je n’avais même plus la force de seulement imaginer des protestations.
— Alors puis-je l’avoir au moins pour plusieurs jours ?
— Pour vingt-quatre heures tout au plus, Madame. Quand le souhaitez-vous ?
— Bon, et… si je vous en offre quatre-vingt mille, je l’ai pour combien de temps ?
Les deux gardiennes s’observèrent une fois encore.
— Allez, tenez, je rajoute dix mille pour chacune de vous, et vous me le laissez jusqu’à nouvel ordre, d’accord ?
— Nous ne…
— Oui, c’est d’accord. Qu’est-ce que c’est qu’un dégénéré de plus ou de moins, de toute façon…
— Mais tu d…
— Chhut ! Tais-toi ! Dix mille curins, tu n’en veux pas ?
Je tambourinai un instant contre la vitre pour marquer un désaccord de principe, mais une ...
... autre surveillante surgit pour me frapper violemment derrière les jambes et je m’écroulai à terre en geignant. De l’autre côté de la vitre, la grosse bourgeoise ricanait en gloussant, demandant qu’on veille à me laisser en bon état pour ne pas qu’elle doive regretter son achat.
***
Et c’est ainsi que j’atterris dans la très luxueuse demeure de Dame Mazela. Si j’avais trouvé fastueux le très grand appartement de Dame Heline, la résidence où je venais d’entrer avait tout d’un palais : une vaste habitation de plain-pied auprès des artères les plus animées de la ville, de nombreuses pièces toutes plus lumineuses les unes que les autres, enchevêtrées dans un dédale de couloirs, richement décorées de multiples objets d’un art étouffant. Je fus accueilli par Dame Mazela en personne, entourée de plusieurs créatures physiquement à mi-chemin entre des femmes et des hommes que je devinais être des domestiques prêtes à obéir aux moindres ordres de leur maîtresse.
— Bienvenue, Johan. Tu devrais te trouver ici bien mieux que dans ta prison. Tu ne manqueras de rien, nourriture, boisson, hygiène…
Je me contentai de la scruter des yeux.
— Hmmm, j’aime ton regard fier ! Rien que ça, ça m’excite ! Hmmm, hou hou hou !
Elle frissonna un moment en riant, puis reprit une allure plus sérieuse.
— En contrepartie, je veux une obéissance sans limites. Sinon, eh bien… je te tue.
Elle devait s’attendre à ce que ses menaces proférées sur un ton glacial me fissent baisser les yeux, ...