Esclave
Datte: 16/01/2019,
Catégories:
fh,
grossexe,
humilié(e),
contrainte,
facial,
pénétratio,
sm,
attache,
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... l’obliger à cesser de se comporter de cette façon aussi insupportable. Mais encore une fois, elle dut lire mon intention dans mes yeux et murmura seulement :
— Si tu lèves la main sur moi, tu seras mort dans les deux minutes…
J’hésitai. Mais pris un petit risque quand même :
— Mais vous aussi, peut-être…
— Crois-tu que je ne saurais pas me défendre ?
Je ne trouvai rien à répondre.
— Remonte auprès de ta femelle, misérable dégénéré, et réveille-la, elle a du travail. Quant à toi, lave-toi soigneusement et reviens me voir ensuite.
Dans un nouveau soupir, je repoussai une énième fois l’idée de lui bondir dessus. Elle avait déjà tourné les talons. Et une énième fois, je me persuadai qu’elle jouait un rôle et se montrait bien plus terrible et froide qu’elle ne l’était vraiment.
***
Les premiers invités arrivèrent une bonne heure plus tard. Alys s’était éveillée alors que j’étais revenu m’allonger près d’elle, finalement insouciant des commandements de sa maîtresse. Mais la jolie rouquine s’était vite montrée passablement inquiète de ma réaction et avait souhaité contenter Dame Heline au plus vite. Alors, pendant que je me lavais et m’oignais d’un mystérieux onguent, elle avait dressé un buffet d’accueil, mis en place plusieurs sièges et coussins, et s’était préparée pour être encore plus belle que jamais. Et l’on m’avait finalement repassé la laisse autour du cou, et attaché les mains dans le dos, et les chevilles ensemble ; et je devais désormais ...
... attendre, debout nu dans la grande salle de repas, sans doute destiné aux amusements ultérieurs des convives. La maîtresse de maison ne lâchait pas la lanière en cuir et le petit dispositif électrique visant à me faire obéir, et je la suivais de quelques mètres où qu’elle allât.
— Oh mais il est fantastique, ma chérie ! Tu as bien fait de nous inviter !
Une grosse créature aux longs cheveux bouclés, s’avançait en me toisant d’un regard amusé. La tenue burlesque qu’elle portait achevait de lui donner l’air ridicule que ses manières lui assuraient déjà. Dame Heline l’accueillit en l’embrassant à pleine bouche.
— Bienvenue, Mazela.
— Je me garde le premier tour ! gloussa la rondelette en s’approchant pour griffer mon torse de ses ongles démesurés tandis que j’écarquillai les yeux en déglutissant.
— Bonsoir, bonsoir ! fit une autre voix. Oh, Heline, tu as toujours ta merveilleuse Alys ! Rien que pour elle, je me faisais une joie de cette soirée !
La nouvelle venue était svelte, grande, et portait une robe et des collants noirs brodés d’un lourd motif doré ; un chapeau jaune à larges bords, posé en biais, cachait les traits de son visage. Mais l’ensemble lui donnait une apparence tout aussi saugrenue que la précédente. Elle entra en tenant Alys par la main.
— Tu ne veux toujours pas me la vendre ?
La maîtresse de maison s’avança pour la saluer et lui répondre, mais n’en eut pas le temps.
— Oh mon Dieu, qu’il est vilain !
La troisième de ces dames venait de poser ...