Marion
Datte: 16/02/2018,
Catégories:
fh,
init,
fantastiqu,
contes,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... la banquette et commença à se caresser. Elle savait qu’il la matait. Il avait déjà prouvé qu’il adorait la regarder et que ça n’était qu’un « caprice » de sa part et non une réelle volonté de lui plaire à elle. Cependant, Marion trouva cette situation très érotique et son ventre fut rapidement de nouveau trempé. Cela aurait largement suffi à permettre le retour du chapelet, mais Marion décida que, quitte à être dans cette situation, autant aller plus loin. Elle ne cessa qu’une fois son orgasme passé puis écarta les jambes et l’inconnu lui remit le chapelet.
Elle venait de s’asseoir confortablement lorsque la voix de l’inconnu s’éleva dans la voiture. Pendant tout le trajet - qui dura un assez long moment car elle n’était pas très près de chez elle - il lui lut un livre. Marion sourit souvent car il n’avait pas choisi n’importe quoi. L’histoire, hautement érotique, n’en était pas pour autant mal écrite et Marion apprécia le trajet (elle dut quand même lutter pour ne pas s’endormir et entendre la fin de l’histoire). L’inconnu avait très bien prévu son temps car le récit s’acheva à la seconde où le chauffeur gara la voiture. Marion sortit sur ordre de l’inconnu et lorsqu’elle ôta son bandeau, elle remarqua que la nuit était tombée. En hiver, elle arrivait tôt mais Marion se douta qu’il ne devait pas être loin de huit heures du soir. Elle l’entendit sortir derrière elle et se figea. Il ne lui avait pas spécialement demandé d’ôter le bout de tissu. C’était elle qui avait ...
... supposé qu’elle en avait le droit.
— Tu peux le remettre, s’il te plait ? dit l’inconnu.
Marion s’exécuta.
— Désolée, j’étais curieuse de savoir l’heure qu’il était, dit la jeune femme.
— Il te suffisait de me le demander, fit-il remarquer. Il est huit heures et demie passé. Et puis, de toute façon, tu avais le droit de l’enlever. Je ne t’oblige à rien, tu le sais. J’ai confiance. Je t’ai fait comprendre très clairement que je ne voulais pas que tu saches qui je suis et je suis persuadé que tu ne tenteras rien en ce sens.
Marion hocha la tête. Il lui prit alors délicatement le bras droit, posa une main sur ses hanches et la mena jusque chez elle. Il était très doux, comme d’habitude. Il lui ôta lui-même ses chaussures puis la guida dans la maison. Marion sut qu’il l’avait amenée dans la salle de bain.
— Lave-toi, n’oublie pas de te démaquiller, puis change-toi. Compte jusqu’à cinq avant de retirer le bandeau.
De nouveau en mesure de voir, Marion constata qu’une tablette avait été rajoutée dans sa salle de bain. Sur celle-ci étaient disposés de nombreux produits de beauté. Marion se souvint des conseils de la maquilleuse et choisit les produits avec assurance. Marion apprécia ensuite grandement de sentir l’eau chaude couler sur elle. Ses muscles fatigués crièrent leur plaisir. Lorsqu’elle sortit de la douche, elle se sentait bien mieux. Elle mit les vêtements qui avaient remplacés la robe bleue. C’était un ensemble jupe / haut qu’elle ne connaissait pas mais ...