Le moment de vérité
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
hh,
jeunes,
amour,
volupté,
préservati,
pénétratio,
hsodo,
Auteur: Ptoma, Source: Revebebe
... quoi, selon toi ?
— Je sais pas, je suppose que tu m’as attendu, et que tu t’es bien excité en m’attendant… Moi, en tout cas, j’ai fantasmé un max…
— Moi ça fait des années que j’attends…
— Mais qu’est-ce que t’as ? De quoi tu me parles, là ? Des années que t’attends quoi ?
— Un mec bien…
Fabrice déboutonna tranquillement sa chemise.
— Ah ben quand même ! fit Aurélien en retirant son blouson. Je commençais à me demander à quoi tu jouais…
Fabrice ôta son pantalon, son caleçon, ses chaussettes, et se glissa sous les draps. Aurélien ne le quittant pas des yeux en fit tout autant, et aussitôt à ses côtés l’embrassa, lui déposa mille baisers mouillés sur le visage tout en frottant sa verge déjà bouillante contre la sienne. Fabrice, la tête enserrée par les deux mains qu’il aimait, se sentit tellement adoré, désiré, qu’il en fut surpris. Il y avait dans tout le corps d’Aurélien une telle nervosité, une telle fougue, que Fabrice se mit à lui parler comme s’il s’était agi de calmer un animal. « Tout doux, tout doux » lui dit-il. Et de ses mains sur ses flancs frémissants le caressa. Aurélien glissa des lèvres à la poitrine de Fabrice qu’il lécha toute entière jusqu’au nombril. La queue de Fabrice, tendue à l’extrême, gorgée de son sang chaud, droite pointée sous la gorge proche à effleurer son gland, s’énervait de sa fièvre, comme si elle s’exaspérait, sa queue, de n’avoir pas de mains à elle pour saisir ce beau visage à sa portée et s’y enfourner toute entière. Mais ...
... la bouche d’Aurélien s’éloigna d’elle pour aller mêler sa langue à celle de Fabrice qui laissa faire. Aurélien commença un mouvement de va-et-vient qui lui creusa les reins.
Fabrice sentit et comprit qu’il refaisait là des gestes répétés cent fois sur des filles, et la voix de sa sœur lui revint à l’esprit. Ce qu’Aurélien venait chercher par instinct, c’était autre chose, ce qu’il fallait lui donner c’était ce qu’il ne pourrait pas trouver avec une femme. Ce qu’il voulait, c’était un homme, un gars bien viril. C’était le sens caché de la coupe de cheveux qu’il lui avait imposée d’instinct. Il ne voulait pas un mec efféminé par des cheveux trop longs, il voulait, mais sans le savoir du tout, un mec, un vrai, un qui oserait…
Comme naturellement, Fabrice enveloppa Aurélien de ses bras et le fit basculer sur le côté, puis sur le dos. Entreprenant à son tour, il ne lui laissa aucun répit, usa d’une force toute nouvelle, l’attrapa aux mains, lui écarta les bras et, pesant de tout son poids, des cheveux au menton le lécha lui aussi. Puis, sans aucune transition, il alla droit vers sa queue qu’il agaça de coups de langue sur son bout, avant de gober chacun leur tour les deux testicules bien fermes enserrés entre ses dents menaçantes. Les cuisses d’Aurélien s’écartèrent presque démesurément, et il en profita pour se glisser en dessous et les ramener sur ses épaules. Ainsi se redressant, il bascula vers l’arrière Aurélien qui se retrouva jambes en l’air et sans rien pouvoir faire ...