Trois mois de vacances
Datte: 13/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
voyage,
amour,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... procurent ses manigances. Elle procède avec une exquise délicatesse très loin des pompeuses professionnelles qui officient dans les pornos. Tour à tour, elle lèche mon gland par petites touches, le gobe et le suçote. Parfois, elle s’enhardit et engloutit entièrement ma bite. Ce qui malgré la petitesse de sa bouche, vu la taille de mon sexe, ne relève pas de la performance. Elle ne s’attarde pas et reprend ses activités buccales autour de mon gland.
Le plaisir qu’elle me donne est indicible. Ma main remonte le long de sa cuisse. D’un geste qui ne prête pas à confusion, elle la ramène en arrière. J’ai compris et cela ne m’embête pas. Se faire « dorloter » ainsi le chauve à col roulé, j’aurais tort de me plaindre. Le cocon obscur dans lequel je m’isole, mon inaction me focalisent exclusivement sur mes sensations. Je ne pourrais résister longtemps. Ça bouillonne sec dans mes tuyaux et le niveau monte dans l’alambic. Aussi lorsqu’une fois encore, ses lèvres chatouillent ma toison, ma main se crispe sur sa jambe pour lui indiquer que je vais venir. Elle se retire immédiatement.
— Retiens-toi, s’il te plaît.
J’ouvre les yeux. Elle est assise sur ses talons et me regarde d’un air suppliant. Au prix d’un gros effort, je parviens à retenir mes larmes de jouissance. Tout en observant ma bite, elle cajole son minou. Si je m’en réfère au léger clapotis qui accompagne ses caresses, madame la Comtesse est prête pour le coït final. Je ne me trompe pas. Dès qu’elle juge que ...
... Popaul ne va pas se répandre au premier contact, elle m’enjambe, place son con au-dessus de son objectif. Avec toujours autant de délicatesse, sa vulve épouse mon gland. Mon membre disparaît graduellement jusqu’à totale absorption. Aucune difficulté cette fois, la machine est bien huilée. Un temps d’arrêt.
Elle a fermé les yeux. Elle place ses mains sur mes cuisses. Soupir. Elle entame de langoureux va-et-vient. Malgré moi mon bassin se soulève. Ses ongles me rappellent à l’ordre. Son fourreau épouse parfaitement ma bite qui frémit dangereusement. D’une voix rauque, elle chantonne de nouveau dans son sabir sino-portugais. Elle accélère progressivement la cadence. Et soudain tout s’affole. Ses mains volent vers ma poitrine, ses ongles s’enfoncent dans la chair tendre. Son bassin ne se soulève plus, mais oscille d’avant en arrière, de droite à gauche fiché dans mon pieu qui ne va pas tarder d’exploser. Le silence a remplacé ses vocalises. Un silence bruyant ! Elle halète comme si elle venait de piquer un sprint. Le frottement de ses lèvres très lubrifiées contre ma peau génère des bruits de succion. J’explose. Mon sperme stérile giflant ses ovaires libère sa jouissance. Glissant ses pieds sous mes fesses, elle pousse, pousse pour me faire entrer encore plus en elle. Elle s’écroule sur moi, resserre ses cuisses.
— Ne bouge pas, reste en moi s’il te plaît, dit-elle en posant sa tête au creux de mon cou.
Pour ce qui est de bouger, j’en suis bien incapable. Cette jouissance ...