1. 1968 : une révolution puissance X (4)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... lui.
    
    De l’autre côté, apothéose :
    
    — Salop, je vais jouir ! Oui ! Oui ! Oui !
    
    — Je te l’avais dit que tu finirais par couiner comme une folle !
    
    — Vas-y ! C’est trop bon. Encore. Encore. Encore. Oui !!!!!!!!!!
    
    — Moi aussi, je viens. Prends ça ! Et ça ! Et ça ! Chienne, chienne, chienne...
    
    — Ouiiiiiiiiiiiii.
    
    — Arghhhhhhhhh.
    
    Enfin le silence !
    
    ... Et la porte s’ouvrit à nouveau sur Jimmy, mais cette fois-ci, décemment couvert. Jean et tee-shirt ; « Born to be wild » tracé en grosses lettres blanches sur fond noir.
    
    — Je... Je ne te dérange pas ? Je suis vraiment désolé pour tout à l’heure. Je ne savais pas que tu étais encore là.
    
    — Et où voulais-tu que je sois ?
    
    — Je pensais que tu étais partie.
    
    — À pieds dans la nuit ?
    
    — Non, bien sûr. Je suis stupide.
    
    — Vous êtes surtout des porcs !
    
    Il encaisse l’insulte :
    
    — Je comprends que tu sois en colère, mais ne condamne pas les gens ainsi.
    
    — Et pourquoi donc ?
    
    — Je ne te juge pas. Tu es libre de tes pensées. Je te demande juste de respecter la liberté des autres.
    
    — C’est quand même dégoûtant de faire ça comme des animaux, sans aucun sentiment !
    
    — Tu as un amoureux, Sandrine ? Et tu veux lui rester fidèle ?
    
    — Oui !
    
    — C’est tout à ton honneur. Il a beaucoup de chance ! Comment s’appelle-t-il ?
    
    — Philippe...
    
    Par petites touches, Jimmy gagna la confiance de Sandrine. Il possédait une ouverture d’esprit et une qualité d’écoute remarquable. Il s’intéressait sincèrement ...
    ... aux autres. Et tout particulièrement à cette jeune femme autant désirable que réservée. Aux principes si désuets. Qui croyait encore au prince charmant.
    
    Marianne pénètre à son tour dans la cuisine, éblouissante dans sa nudité désinvolte, comblée par la saillie et ainsi au summum de sa puissance de femelle indomptable.
    
    — Vous êtes là ! On vous cherchait !
    
    Elle penche ses courbes au-dessus de l’évier et boit au robinet, offre, avec un naturel insolent, sa croupe épanouie aux regards.
    
    Jimmy détourne les yeux, par égard pour Sandrine qui désapprouve et tient à le faire savoir :
    
    — Ça t’ennuierait vraiment de ne pas t’exhiber ainsi ?
    
    Marianne moque, avec un brin de suffisance, cette pudeur dissonante :
    
    — La vertu incarnée a parlé !
    
    Jimmy, chevaleresque, prend la défense de Sandrine :
    
    — Marianne, ne taquine pas ta cousine. Accepte sa différence. Ta nudité la gêne, c’est son droit le plus absolu. Sois tolérante. Alors s’il te plaît, couvre-toi... Et demande aussi à Juju de s’habiller.
    
    — Et bien Sandrine, mine de rien, tu sais obtenir ce que tu veux des hommes... Tu sais, tu pourrais obtenir tellement plus !
    
    Jimmy élève la voix :
    
    — Laisse-la tranquille !
    
    — OK, OK ! Ne nous énervons pas ! Même si elle est coincée et qu’elle a un foutu caractère, j’adore ma cousine.
    
    Et un peu par provocation, beaucoup parce qu’elle est sans fard, désinvolte, spontanée et fondamentalement bien dans sa peau, Marianne mit en mouvement ses courbes démoniaques. La ...
«1...3456»