1. 1968 : une révolution puissance X (4)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... associe courses de relais et d’endurance.
    
    Au-delà de la vulgarité, Sandrine est choquée par la complicité qui unit le trio, l’insouciance d’une telle dépravation.
    
    Depuis trente minutes, ils baisent comme des bêtes. De toute évidence, afin de combler l’insatiable femelle, les mâles ont su optimiser leur vigueur. La tournante semble très organisée, sans aucun passage à vide. Sans parler de l’esprit de compétition typiquement viril :
    
    — Tu as vu ! Elle couine bien plus fort quand c’est moi qui la bourre.
    
    — Tu parles ! C’est simplement qu’elle est bâillonnée par ma grosse queue. Elle se régale trop à pomper. Sa bouche n’aspire pas autant quand elle te suce ! Passe-la-moi, tu vas voir ce qu’elle va prendre !
    
    Et Marianne qui refuse de trancher :
    
    — Ô ! Vous assurez trop les mecs ! Allez-y ! Salops ! ENCORE !
    
    Elle ne sera donc jamais rassasiée ?
    
    Sandrine abasourdie par ce qu’elle entend, reste figée dans la cuisine, sans doute fascinée, telle une biche éblouie par les phares d’une voiture qui fonce dans sa direction.
    
    Jimmy a de nouveau réinvesti la chatte de la salope. Et il est sur le point de tout cracher :
    
    — Merde, Juju, elle est vraiment trop bonne, je sens que je viens !
    
    — Alors, fais un petit break. Elle n’a pas encore son compte. Pendant que je la tringle, tu n’as qu’à nous resservir une coupe de champagne.
    
    Et Marianne autant enthousiaste qu’impatiente :
    
    — Allez, vas-y Juju ! Mais qu’est-ce que t’attends ! Dépêche-toi de me la ...
    ... mettre.
    
    — Demande mieux que ça !
    
    — Mais vas-y, mon salop ! Défonce-moi comme une chienne !
    
    — Toi, tu sais parler aux hommes !
    
    Et c’est reparti pour un tour !
    
    Vagissements de Marianne, commentés en direct par un Jimmy extasié :
    
    — Bon dieu, quand elle se fait prendre comme ça, à quatre pattes, elle est trop, trop, trop, bandante ! Son cul sublime, son corps qui vibre, ses seins lourds qui gigotent, sa petite gueule ravissante possédée par la jouissance, la corruption outrancière d’un ange si pur, plus corrompu que la dernière des putains... Sérieux, Marianne tu es absolument divine à regarder ! Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps !
    
    — Viens jouir dans ma bouche !
    
    — Tu es sûr que je peux !
    
    — Viens, je te dis, donne-moi tout ton jus !
    
    — Ô admirable salope !
    
    Grognements puissants de Jimmy qui éjacule. Borborygmes obscènes d’une bouche remplie, inondée. Déglutition de la femelle et soupire de satisfaction du mâle aux couilles vidées. Alors que son complice se déchaîne de plus belle :
    
    — Ô chienne, maintenant tu vas vraiment déguster, crois-moi !
    
    — Chiche !
    
    Ça n’en finira donc jamais !
    
    Sandrine regarde sa montre. Minuit dix !
    
    — Ce n’est pas possible, ils vont y passer la nuit....
    
    Elle sursaute ! La porte de la cuisine s’ouvre ! Jimmy nu, bite pendante entre les cuisses ! Elle détourne la tête horrifiée.
    
    Il est confus :
    
    — Ô merde, pardon !
    
    Il ressort immédiatement.
    
    — Vraiment, je m’excuse.
    
    Referme la porte derrière ...
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