1968 : une révolution puissance X (4)
Datte: 12/01/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... c’est tout.
En haussant dédaigneusement les épaules, elle détourna la tête.
Alors à regret, il rejoint le duo. Car, même s’il est très attiré par Sandrine, Jimmy n’est pas un saint. Jimmy n’est pas un ange. Et ça dégénère...
Sandrine n’en croit pas ses yeux.
Juju est derrière Marianne. Il la tient par les hanches. La croupe lascive de la femelle épouse le rythme d’un lancinant massage de turgescence ! Obscène chienne en chaleur, Marianne frotte délibérément son cul contre la pine de l’étalon. Et la garce ne se contente pas de si peu, tout en motivant Juju, elle invite aussi Jimmy, ondule de la croupe pour la queue de l’un, gigote des mamelles pour que l’autre entre à son tour dans la danse. Ses lèvres pulpeuses entrouvertes, pourtours délicieux d’une parfaite suceuse de bite, indiquent à quel point celles de sa chatte moite, bâillent.
Jimmy a un dernier regard désappointé vers Sandrine. Il est franchement désolé pour elle, mais impossible de résister à l’appel de la salope. La vamp échange un long baisé mouillé avec Juju, puis, elle offre sa bouche luisante de salive à Jimmy, prend langue avec lui. Le sandwich est de plus en plus torride.
Sandrine a envie de vomir ! Elle ne peut pas voir ça !
Elle s’enfuit. Au hasard, ouvre la première porte. La cuisine ! Assise derrière la table en formica, elle subira l’écoute intégrale de la séance pornographique. Entendra absolument tout ! Est-elle excitée ? Nenni. C’est beaucoup trop déstabilisant. Invraisemblable. ...
... Elle n’est plus vierge, mais l’amour avec Philippe, n’a rien à voir avec cette bestialité, cette jouissance avilissante. Leurs ébats, contenus par la décence, ne lui ont pas procuré de plaisir, mais, au moins, elle a reçu de l’amour. Du vrai. Du sincère. Du pur.
Pendant qu’elle se morfond, de l’autre côté, la fête bat son plein. Bacchanale. Sexe et alcool. Une explosion ? Non, le bouchon d’une bouteille de champagne qui saute.
Un cocktail d’hilarité et de débauche sacrément corsé. Digne d’un bon porno.
Quand l’action bat son plein, les cris de Marianne sont si perçants que l’on pourrait presque croire qu’elle souffre. Elle ne réclame même pas, elle supplie et en veut toujours plus. La litanie abjecte d’une chienne déchaînée qui ameute les queues exige l’émeute sauvage dans son vagin vorace. Encore. Plus fort. Plus à fond. Ô OUI, ENCORE !
Et quand la salope ne beugle pas, c’est qu’elle pompe avidement, enclenchant d’autres sons pour le même jeu de piston dans sa bouche et son con. La ritournelle obscène devient alors plus sourde, une mélodie baveuse, toujours soutenue par la même section de percussions à la rythmique endiablée : le tambourinement incessant du bas-ventre qui cogne, des couilles qui butent. Un hymne à la joie pour deux orifices remplis.
Parfois, un changement de refrain. Par exemple, la voix de Juju qui résonne :
— Allez on tourne ! À moi de la tringler.
Et Marianne éclate de rire :
— Le sexe avec deux hommes, voici mon sport préféré. Il ...