La chandelle - 2
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
fh,
amour,
cérébral,
pénétratio,
portrait,
délire,
Humour
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... C’était comme déballer un cadeau de Noël. Je lui remonte sa robe jusqu’aux aisselles, lui détache un bras pour libérer un côté de la robe et du soutien-gorge, lui rattache le bras, puis la même opération de l’autre côté. Je la caresse sur tout le corps, avec mon index pointé, avec la main ouverte, avec les lèvres, tandis qu’elle tire sur ses cordons comme une folle.
Il s’interrompt un moment, les yeux dans le rêve.
— C’est fou ! Jamais connu une émotion si intense. Je me sens le dieu des prédateurs devant la plus belle proie du monde. Je libère une de ses deux jambes puis je me mets à genoux entre elles. Et là, je peux savourer le bonheur de tirer lentement sa culotte vers moi, pour découvrir la colline aux merveilles ! Et mesurer le privilège de mon pouvoir lorsque ma bouche s’y colle, lorsque ma langue défriche sa forêt pour attaquer son trésor. Elle soulève son bassin, tétanisée par la caresse. C’est fou ce qu’un bout de langue… Des mots sans suite, sa tête qui roule de part et d’autre en mouvements de plus en plus rapides, ses cuisses qui essaient de me coincer entre elles, des cris, des cris, et presque tout de suite, l’orgasme.
Encore les yeux dans le rêve, émerveillé, intarissable :
— Je veux la libérer, mais la belle entravée proteste avec véhémence. « Prends-moi comme ça ! Je jouis plus, tue-moi avec ta queue, vas-y, viens, enfonce-la moi, dépêche-toi, tuvumulamuttremusulo ! ». Elle balbutie, elle s’asphyxie, j’ai craint qu’elle me fasse un malaise. Tu ...
... parles ! Les furies affamées jaillissent d’elle en hordes déchaînées et se précipitent sur le marchand de bonheur. Je libère l’entrave de sa seconde jambe, les entoure toutes deux avec mes bras pour les prendre en tenaille entre ma poitrine et ses épaules, l’écrasant littéralement sous mon poids. Puis je la pénètre d’un coup, d’un seul, jusqu’au bout. Ses yeux sont exorbités… bouche grande ouverte, elle hurle, hurle. Un hurlement qui n’en finit pas. Alors, je la défonce à méga-super-hyper coups de boutoir rageurs, comme si ma vie en dépendait.
Encore une pause. Il reprend, toujours ailleurs :
— C’est incroyable la force qu’elle a dans ses jambes, je dois batailler comme Hercule( moi, en aparté : pourquoi Hercule ? c’est celui qui rit quand on… ?) pour la maintenir écrasée sur le matelas, car je soupçonne que cette position de soumission décuple son excitation. Je continue à la pilonner et elle enchaîne orgasme sur orgasme. Jamais je n’aurais cru pouvoir tenir si longtemps. Je finis par tout lâcher. Eh bien, tu ne me croiras pas, patron, elle jouit si fort qu’elle casse les entraves de ses poignets !
Mon Stéphane encore sur son petit nuage… J’en profite nonobstant pour remettre les pendules à l’heure :
— Stéphane, je ne suis pas stupide. Après tout ce que tu m’as raconté, la Griotte, c’est terminé pour moi. C’est de bonne guerre. Tu n’as pas osé chasser sur mes terres, et moi je refuse de chasser sur les tiennes. Euh… oui… ?
— Je n’osais pas trop t’en parler, mais ...