1. Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2)


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Erotique, Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... dévoilant une paire de seins superbes, logés dans un écrin de dentelles dont la blancheur tranchait avec le teint mat de la peau satinée. Il remarqua le ventre plat, le piercing au nombril : décidément, elle cachait bien son jeu cette belle petite ! Mais Nilsah se déroba :
    
    — Mais arrêtez, vous êtes fou Antoine ! Murmura-t-elle sur un ton désapprobateur alors que quelques secondes plus tôt elle lui rendait ses baisers sensuels.
    
    — Mais tu me plais, depuis que je t’ai vu ! Répliqua Antoine, désespéré.
    
    Mais elle le repoussa :
    
    — Attendez. Ordonna-t-elle, avant de sortir de la pièce.
    
    Antoine resta là, abasourdi. C’était la première fois de toute sa vie qu’une chose pareille lui arrivait. Pour séduire Laurence, il avait dû la poursuivre de ses assiduités pendant des mois. Et pourtant, il ne l’avait jamais laissée indifférente. Quant aux autres, avant Laurence … il était préférable de ne pas trop s’en rappeler !
    
    Un instant, il ne sut plus trop quoi faire. Il pensa que Nilsah n’allait plus revenir, mais bientôt, elle vint à nouveau à lui. Il l’attira contre elle, incapable de se contrôler. Il n’aurait pas été contre le fait de la baiser là, par terre, parmi ses outils et les pièces de la chaudière, pendant que de l’autre côté du mur sa mère confectionnait quelques-unes de ces succulentes pâtisseries dont elle avait le secret. Nilsah lui roula un gros patin baveux avant de chuchoter, l’air désolée :
    
    — Mes frères vont bientôt revenir, ils peuvent arriver d’un ...
    ... instant à l’autre …
    
    — Mais tu ne vas tout de même pas me laisser dans cet état ? Supplia Antoine, en posant d’autorité une des mains de Nilsah sur sa queue, pour qu’elle se rende compte de son état.
    
    Celle-ci réfléchit un instant, en regardant en direction du couloir et sans s’arrêter de caresser la protubérance qui déformait le pantalon d’Antoine. Puis elle le regarda d’un air mystérieux, en faisant darder sa langue :
    
    — Ne bouge pas, je vais voir où ma mère en est.
    
    Et elle laissa Antoine une fois de plus, les bras ballants, en proie au doute et à une érection désormais douloureuse. Celui-ci entendit la jeune femme s’entretenir avec sa mère, puis, bientôt, elle fut de retour. Elle entra dans la salle de bains en lui adressant un sourire diabolique, avant de pousser la porte, de s’agenouiller à ses pieds et de lui baisser son pantalon et son caleçon.
    
    — Si ma mère arrive, on l’entendra. Assura-t-elle.
    
    Puis elle prit la pine d’Antoine dans une de ses mains et commença à la lécher, du bout de la langue, de bas en haut, en le regardant d’un air mutin par-dessus ses lunettes d’intello. Bientôt, elle l’avala … Antoine trouva qu’elle suçait vraiment très bien, mieux que la prude Laurence en tout cas. Elle le pompait Antoine tout en faisant rouler ses testicules entre ses doigts manucurés. De temps en temps, elle s’accordait une pause. Quand elle sortait la bite d’Antoine de sa bouche, elle la faisait frotter sur ses jolies dents. Puis elle couvrait la verge humide de ...