1. Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2)


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Erotique, Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... ce n’était pas tout car Michel était aussi un as de la caméra espion. Il en possédait plusieurs modèles, du simple gadget aux plus sophistiquées. Si à son grand regret, il n’avait jamais eu accès à la chambre de Nolwenn ( il y aurait volontiers installé une caméra infrarouge … surtout quand elle passait la nuit avec un de ses petits copains ! ), il avait pu la filmer à plusieurs reprises, dans la salle de bain, en train de se doucher, de s’habiller, voire de s’épiler le pubis. Certaines de ces vidéos étaient d’excellente qualité. Sur l’une d’elles, on voyait Nolwenn nue, à l’exception d’un petit porte-jarretelles panthère, en train d’aller et venir puis de se maquiller. Sur une autre, elle se taillait les poils de la chatte, au rasoir et avec de la mousse, avant de se badigeonner longuement avec de la crème hydratante … Mais Michel, par prudence, ne les avait jamais mises en ligne. Il les conservait bien à l’abri, sur un de ses disques durs.
    
    2.
    
    Mais revenons-en aux aventures d’Antoine.
    
    A la fin de l’épisode précédent, celui-ci nous confiait qu’aucune collection de petites culottes ne lui avait jamais procuré autant d’émoi que celle de Nolwenn. Ce qui ne voulait toutefois pas dire qu’il n’avait plus jamais trouvé le moyen de satisfaire ses penchants fétichistes.
    
    A l’âge de 24 ans, il avait rencontré celle qui est encore aujourd’hui sa compagne : la très jolie Laurence, une brune BCBG, douce et timide. En dépit de sa beauté et de ses très gros seins, qui en avaient ...
    ... fait fantasmer plus d’un, elle n’était pas plus expérimentée qu’Antoine et même un peu niaise. Les deux jeunes amants avaient donc découvert ensemble les joies du sexe. Pendant quelques années, Antoine s’était contenté de sa jeune chérie. Il avait longtemps eu pour habitude de lui acheter des slips sexy, non pas, comme la plupart des autres hommes, pour les plaisirs de la contemplation – et du déballage ! -, mais dans l’unique but de pouvoir lui lécher le sexe à travers. Quand les petites culottes de Laurence étaient pleines de mouille et de salive mêlées, Antoine se contentait de les baisser à mi-cuisses, puis il faisait se retourner sa partenaire et la prenait en levrette. Parfois, quand elle était de très bonne humeur, elle branlait Antoine entre ses gros nichons et le laissait venir dessus. Les jours spéciaux, c’était son adorable minois qu’il avait le droit d’arroser. Et pour fêter le 26ème anniversaire d’Antoine, elle s’était même laissée enculer. Mais elle avait prévenu le jeune homme que plus jamais elle ne recommencerait : car s’il avait joui comme un salaud, elle n’avait quant à elle éprouvé que de la douleur, et ce malgré les hectolitres de vaseline avec lesquels Antoine lui avait tartiné l’anus.
    
    Mais en réalité, Laurence n’était guère portée sur les plaisirs charnels. Avec Antoine, elle n’avait pratiquement jamais eu d’orgasmes, tout juste un peu d’excitation. Avant leurs 30 ans, les rapports entre les deux jeunes gens avaient donc fini par s’espacer, au point ...
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