Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2) - Histoires de Sexe

Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2)

... soupçonnerait-elle un vol ?

Notre ami se demandait souvent quelle était la proportion de femmes qui avaient conscience que les amateurs de petites culottes étaient en réalité fort nombreux. Et quel était, parmi toutes celles qui subissaient ce genre de vols, le pourcentage de celles qui comprenaient qu’elles n’avaient pas tout bêtement perdu leur slip. Laurence, par exemple, ignorait tout de ce genre de plaisirs pervers. Elle savait que certains ados fouillaient dans les tiroirs de leurs tantes ou de leurs cousines, par curiosité, mais elle n’imaginait pas que des adultes puissent continuer à se livrer à de telles pratiques.

Le tanga de Nilsah sentait très fort la pisse, la sueur et le sexe. Antoine se caressa longuement, d’abord en faisant courir ses doigts gourds sur l’étoffe, puis en le reniflant. Enfin, quand il l’embrassa et le lécha, comme s’il avait la fente de la belle étudiante au bout des lèvres. Il déchargea subitement :

— Nilsah, oh Nilsah ! Oh putain !

Un jet de sperme gicla jusque sur le volant, un autre retomba sur son avant-bras. Antoine enveloppa son gland avec le slip de Nilsah et serra très fort. Puis il s’essuya avec la jolie petite culotte, s’appliquant à la badigeonner toute entière de foutre, pour le simple plaisir des yeux. Ensuite, il se rhabilla et s’extirpa hors de la voiture. Le vent frais lui fit l’effet d’une claque. Frigorifié, il fit quelques pas en direction des dunes et jeta le slip dans l’herbe, à quelques mètres seulement du ...

... chemin de randonnée. Puis il s’engouffra dans son véhicule en songeant à ce qu’imagineraient les promeneurs …

5.

Le jour d’après, Antoine retourna chez les Aslan à l’heure promise, en espérant que les quelques slips de la veille seraient toujours au sale : une petite culotte rouge lui avait tapé dans l’oeil, une petite chose en nylon qu’il n’avait pas pu étudier plus en détail. Cette fois, il avait songé à une ruse pour disposer d’un peu plus de temps : demander, tout simplement, à utiliser les toilettes. Cela chasserait le vieux et il pourrait s’enfermer dans la salle de bains.

Mais cette fois, ce fut la mère qui lui ouvrit la porte. La pauvre vieille se confondit en excuses :

— Mon mari a dû s’absenter, il essayera de rentrer avant votre départ, oh, il était tellement désolé ! Oh c’est la honte monsieur Antoine, vous venez nous aider et lui il n’est pas là !

— Ne vous inquiétez pas madame Aslan, je suis certain qu’il ne pouvait pas faire autrement, la rassura Antoine.

— Je vais vous faire du thé ! Lança la vieille femme en levant les mains au ciel. Puis elle fit volte-face et se dandina jusqu’à la cuisine.

Dans la salle de bains, Antoine ôta aussitôt le couvercle du bac à linge. Mais catastrophe, celui-ci était vide, à l’exception d’une serviette de bain ! Il la souleva tout de même, pour vérifier, et vit la tenue que Nilsah portait la veille, lorsqu’il l’avait croisée au rez-de-chaussée. Il s’empara du pull et découvrit, à l’intérieur de celui-ci, un ...