Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2)
Datte: 06/01/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: walter88, Source: Xstory
... rentrait de la fac. Elle lui adressa un sourire éclatant :
— Oh, Antoine ? L’ami de Laurence ? Vous êtes venu pour la chaudière ?
Elle semblait très sûre d’elle, à l’opposé de l’image qu’elle avait donné d’elle-même, un mois plus tôt. Antoine lui serra la main, en essayant de ne rien montrer des émotions qui l’envahissaient. Elle avait ses lunettes et un peu de bleu aux yeux et de rouge sur les lèvres. Elle portait un long manteau noir, un pull à col roulé, un pantalon blanc moulant et les bottes de cuir qu’Antoine avait vu sur son compte Facebook.
-Oui, j’ai terminé. Bredouilla-t-il en s’efforçant de ne pas loucher sur les très gros seins de la belle demoiselle.
— Vous êtes vraiment gentil. Mes parents s’inquiétaient vous savez.
— Oh attendez, ne me remerciez pas, je dois encore repasser demain, j’en aurai pour une petite heure de travail.
— Tout de même, c’est vraiment sympa. Ajouta-t-elle en souriant tendrement.
Antoine sentit son coeur fondre et ses joues s’empourprer. Machinalement, il glissa sa main dans sa poche pour y prendre ses clés de voiture. Mais il sentit la culotte en dentelles de Nilsah au bout de ses doigts et renonça à temps. Il était évident qu’il n’aurait pas pu sortir son trousseau sans entraîner le slip …
— Oh ce n’est rien. Assura-t-il alors que son coeur s’emballait. Mais … vous revenez de l’université ?
( Il se représenta la scène : le geste brusque, le slip qui s’accroche à une clé et qui tel un mouchoir tombe par terre, ...
... aux pieds de celle à qui il appartient … )
— Oui, j’y étudie les sciences sociales. Je suis en troisième année. Expliqua-t-elle d’une voix douce.
( Et Nilsah qui s’accroupit pour le ramasser : « oh, vous avez laissé tomber quelque chose ... » Avant de comprendre et de se figer … )
— Ah c’est intéressant. Répliqua Antoine. Mais je dois y aller, Laurence va se demander ce que je fais.
Il avait surtout conscience d’être tout rouge et de s’être mis à transpirer. Alors il salua la jolie Nilsah d’un sourire crispé et poussa la lourde porte du hall, pressé de s’enfuir. - Antoine, Antoine ! A quelle heure comptez-vous passer demain ?
— J’ai dit quatre heures à votre père.
— Quatre heures ? D’accord, c’est noté. J’essayerai d’être là. Promit-elle avant de s’engager dans l’escalier.
Antoine quitta le périphérique et prit la route de la mer. Il n’avait pas encore envie de rentrer à la maison. Il avait autre chose à faire, de plus urgent. Une fois sur la côte, il bifurqua en direction d’une zone dunaire déserte. Il emprunta un chemin de terre et gara sa voiture à l’entrée d’une prairie, à l’abri des regards. Il coupa le contact, sortit son pénis encore mou et la petite culotte de Nilsah. C’était une pièce de choix : un beau slip en dentelles qui coutaît sans doute un certain prix et qui devait très bien lui aller. Il songea que la jeune étudiante le chercherait sans doute, surtout si elle possédait le soutien-gorge assorti. Dans ce cas, penserait-elle l’avoir égaré ou ...