Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2) - Histoires de Sexe

Antoine, voleur de petites culottes ( 1 ) (2)

... son doux visage de brune ultime. Elle était vraiment adorable avec ses yeux sombres et ses lèvres sensuelles, qui s’entrouvraient sur des petites quenottes bien alignées. Elle avait les sourcils fournis, plusieurs grains de beauté et des cheveux noirs mi-longs qui auraient certes pu être un peu mieux coiffés. De toute évidence, elle était timide et très soumise à l’autorité de ses parents et peut-être même à celle de ses deux très jeunes frères. Elle ne participait pas à la conversation, gardait les yeux baissés et rendait service sans rechigner.

Au tout début du repas, elle avait posé dans l’assiette d’Antoine un bol de crème de lentilles. Celui-ci avait alors senti sa poitrine contre son épaule. Dans son caleçon, sa bite s’était instantanément rebellée … Mais depuis, la discussion ronronnait sur des thématiques assez peu passionnantes. Notre héros devait lutter pour ne pas se laisser aller à dévorer Nilsah des yeux. Surtout quand elle allait à la cuisine en faisant se balancer ses belles grosses fesses. A un moment, elle avait renversé de la sauce blanche sur son pull, au niveau d’un de ses seins, mais personne, en dehors d’Antoine, n’avait rien remarqué. La belle s’était essuyée doucement, en prenant tout son temps, avec une serviette en papier. N’en pouvant plus, Antoine s’était excusé et avait demandé le chemin des toilettes pour voir si, à tout hasard, la jeune femme n’avait pas laissé traîner un slip.

Coup de chance, les sanitaires étaient à l’intérieur de la ...

... salle de bains et le bac à linge sale plein à ras bord. Parmi tous les vêtements qui s’y trouvaient, il n’y avait toutefois qu’une seule petite culotte, blanche, en coton et de taille moyenne. La mère, imposante, portait sans doute des toiles de parachutes en guise de slips. Antoine en déduisit que celui qu’il tenait entre ses mains appartenait donc bel et bien à la fille.

Le fond du slip de Nilsah comportait quelques taches de pipi mais paradoxalement, il sentait délicieusement bon. Il dégageait une odeur de bonbon au miel à travers laquelle on pouvait déceler un léger parfum de vinaigre. Derrière l’odeur de sucrerie, Antoine chercha à capter celle de la chatte de Nilsah. Lorsqu’il y parvint, il commença à se branler, en s’imaginant d’abord en train de bouffer le cul de la jeune musulmane à travers la culotte qu’il frottait contre sa bouche. Puis il finissait par la lui baisser et par lui lécher l’anus qu’elle avait très rose et très poilu. Enfin, il la sodomisait sur la machine à laver, d’abord délicatement, puis, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Dans son délire, Nilsah se cramponnait à la machine qui vibrait pire que quand elle tournait à plein régime. Ses énormes mamelles oscillaient en rythme, heurtaient les flancs de l’appareil et elle gémissait tout ce qu’elle savait.Soudain, Antoine se vit en train d’éclabousser de foutre les lunettes de la belle Nilsah, pendant qu’elle ouvrait la bouche en grand et tirait la langue, sur laquelle, finalement, il acheva de ...