Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7) - Histoires de Sexe

Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7)

... qu’elle a positionné mon sexe à l’entrée de son vagin, juste suffisamment pour ne plus bouger. Ses mains accrochées à mes fesses on fait le reste, elles m’ont tiré vers le haut et du coup mon sexe a pénétré ma belle. Je sentais son vagin se contracter ponctuellement autour de mon sexe, le plus beau c’est qu’elle avait beaucoup de capacité de contraction. En plus d’être chaude ma compagne était vraiment gâtée par la nature au niveau de sa plastique. Sans vouloir me vanter je pense que Marie était la plus jolie fille du camping. Maintenant je venais de prendre le relais, à savoir que c’est moi qui donnais le rythme des aller et retour en elle. Maintenant je tenais ses bras en haut et je l’embrassais en même temps, j’adorais le contact de ses cuisses contre les miennes; ses cuisses étaient longues et filiformes mais fermes car bien musclées.

Son odeur corporelle m’avait toujours excité et même aujourd’hui elle avait un effet aphrodisiaque. Juste le fait de la regarder dans les yeux et j’étais encore plus excité tant son regard était de braise. Ma compagne ressemblait énormément à Noémie Lenoir excepté le fait qu’elle était un peu plus grande que cette dernière. Quand nous étions au lit j’adorais la laisser diriger les opérations, elle faisait toujours cela d’une façon parfaite. J’étais maintenant en train de donner des coups de reins de plus en plus profonds en elle, cela me faisait travailler les abdos en même temps. Pendant ce temps elle me traitait de tous les noms, ...

... elle avait trouvé le moyen de libérer ses mains pour venir maintenant me griffer le dos ainsi que les fesses et je peux vous garantir qu’elle n’y allait pas de main morte.

J’étais en train de penser à ce qui m’arrivait et je me disais qu’heureusement que j’avais la robe pour me protéger. Même avec la robe pour protection, je pense que je me ferai remarquer la prochaine fois que j’irai à la piscine. Quand j’ai senti que j’allais partir en elle, je me suis retenu car je me fais toujours un point d’honneur à ce que ce soit elle qui prenne son pied avant moi. Je n’ai pas eu bien longtemps à me retenir car ma belle s’est mise à pousser des cris; cris qui m’ont obligé à l’embrasser fermement pour la faire taire. Maintenant elle me tenait fermement les fesses pour que je parte en elle et que je reste le plus longtemps possible dans son vagin en érection. Je n’ai pas été bien long partir dans ma belle et lui balancer énormément de liqueur au plus profond d’elle.

Avec la chaleur ambiante le moindre petit effort nous faisait transpirer et là nous étions en eau. J’aimais sentir nos corps coller par la transpiration il y avait un côté sensuel qui me plaisait énormément. la robe que je portais était littéralement trempée... c’est emboîté en ma belle que je me suis assoupi à ses côtés; prendre son pied c’est une chose, savourer l’instant suivant c’en est une autre. Nous nous sommes endormis un petit instant alors que nous étions l’un dans l’autre puis nous sommes réveillés déboîtés. À ...