1. Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... reconnu que c’était Marie qui venait me rejoindre dans l’eau, je ne m’y attendais pas du tout. Ma belle m’expliquait qu’en fin de compte sa petite sortie à la ville avait été plus rapide que prévu. Je ne peux vous dire combien il était agréable de sentir les seins de Marie collés dans mon dos et de la sentir pressante contre mes petites fesses avec sa main accrochée à mon sexe. Maintenant elle était littéralement accrochée à moi; une main sur mon sexe, l’autre sur ma poitrine, ses jambes accrochées aux miennes, nous étions fusionnés.
    
    Maintenant marie n’était plus attachée à mon sexe mais elle était en train de me masturber dans la piscine avec une efficacité remarquable. Je me sentais vraiment gêné car au rythme où elle allait j’étais appelé à éjaculer dans la piscine. Approchant le point de non-retour je suis sorti de la piscine en direction des toilettes pour me finir alors que Marie restait dans l’eau. Arrivé au niveau des toilettes, catastrophe; je tombe sur le patron du camping et, qui en deux secondes, constatait ta grosse érection juste dissimulée sous mon maillot de bain. Un peu contre ma volonté il m’a accompagné aux toilettes, cet homme avait une emprise sur moi que je n’arrivais pas à expliquer. C’est ainsi qu’il m’a fait rentrer dans le toilette handicapé et m’a fait assoir sur le toilette.
    
    Toujours élégamment habillé, le patron du camping a libéré son sexe pour me le présenter face à mon visage. Il n’y avait pas besoin de faire de dessin je savais ce ...
    ... qu’il attendait de moi, comme hypnotisé, je me suis exécuté. J’ai au début commencé par lui embrasser le sexe avant de me mettre à le lécher; ensuite je l’ai pris en bouche. Je ne sais pas si c’était son parfum, son eau de toilette, son odeur corporelle mais cet homme me donnait envie de m’offrir à lui, il me donnait envie de lui faire du bien. C’est ainsi que après que Marie m’ait donné la gaule, quelques minutes après j’étais en train de soulager Claude, le patron du camping. Là où il prenait le dessus psycologique sur moi c’est quand il se mettait à me parler au feminin, le fait d’accepter cela validait ma soumission à lui.
    
    J’étais maintenant accroché à ses cuisses, il me tenait la tête et me caressait aussi les cheveux. Son sexe glissait maintenant dans ma bouche et c’est lui qui donnait le rythme. Ses poils pubiens venaient me chatouiller le nez; il était bien monté et ma bouche était grande ouverte et bien pleine, mes lèvres détectaient la moindre aspérité sur son membre. Il aimait que je le regarde dans les yeux avec ma bouche pleine, il trouvait que c’était une forme supplémentaire de soumission; de mon côté ce n’était pas pour me déplaire. J’aimais de temps à autre toucher son sexe avec mes mains pour en jauger l’épaisseur; j’étais quand même conscient que bien qu’il ait un sexe de belle taille, le mien avait rien à lui envier J’aimais aussi créer une dépression dans la cavité buccale de telle façon à ce que le sexe soit aspiré.
    
    Du coup mes joues étaient creusées. ...
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