Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7) - Histoires de Sexe

Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7)

... J’ai honte à le dire mais depuis que j’étais au camping, cette année, je prenais grand plaisir à faire des pipes. Au bout d’une bonne dizaine de minutes de ce traitement, Claude s’est vidé dans ma bouche; il va de soi que je n’ai pas gaspillé une goutte. Pour justifier quand même mon déplacement le patron m’a aidé à me relever pour m’accompagner dans la masturbation personnelle et finalement éjaculer. Une fois nos deux sexes bien vidés; nous avons quitté le toilette lui en premier et moi quelques instants plus tard. Quand je suis passé devant le bar, il m’attendait, il m’a offert une gaufre au Nutella en m’expliquant que cela allait assainir mon haleine...

J’ai retrouvé ma chérie au bord de la piscine et nous avons dégusté la gaufre, je lui ai expliqué que c’était Claude qui m’avait offert la gaufre mais je ne lui ai pas donné les détails. Ma chérie me regardait avec des yeux coquins et provocateur; j’étais assis sur le rebord du bassin tandis que ma belle était calée entre mes jambes qui étaient dans l’eau. Nous sommes ensuite allés faire du toboggan, vous savez ceux dans lesquels on passe dans des tubes et où on arrive dans l’eau à toute vitesse. Le temps était ensoleillé et favorable à tous les jeux aquatiques. Avec de tels moments d’intimité nous savourions pleinement nos vacances nous nous reposions et nous changions les idées.

Après ces petits jeux où nous en profitions pour nous coller nous sommes retournés au bungalow car nous étions un peu chauds et désireux ...

... l’un de l’autre. Nous sommes rentrés dans notre chambre, nous nous sommes déshabillés; par contre pendant que Marie se dénudait, moi elle me donnait une douce robe à enfiler par-dessus mon tanga. Son corps magnifique ne m’a jamais laissé indifférent et il me mettait dans tout mes états à chaque fois que je le voyais ou entrais en contact. La pointe de ses tétons était érigés et je me faisais grand plaisir à doucement les serrer entre mes doigts. De son côté elle me caressait le sexe sur son minou tout en sachant que le tanga et la fine robe nous séparait l’un de l’autre. La coquine prenait grand plaisir aussi à me caresser les fesses et surtout la raie culière. Elle prenait grand plaisir à exciter les zones érogènes en me voyant tortiller et onduler du cul.

Maintenant qu’elle me savait bien chaud elle a soulevé l’avant de ma robe pour que mon sexe soit bien en contact avec son minou. Son minou, qui avait déjà humidifié ma robe à l’endroit du contact, était prêt maintenant à accueillir l’arrivée de mon sexe gourmand. Nous entendions au loin les gens jouer dans la piscine et à proximité des oiseaux gazouiller. Dans quelques instants j’allais pénétrer ma chérie en espérant lui donner le plus de plaisir possible. Pour l’instant Marie avait saisi mon sexe et se caressait le vagin ainsi que le clito avec. Il ne m’a pas été bien long pour avoir mon sexe tout poisseux de cyprine et le désir féminin. Marie savait que maintenant nous étions prêts pour l’intromission.

C’est alors ...