Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7) - Histoires de Sexe

Que diable suis-je allé faire dans cette galère (7)

Salut c’est votre folle de lycra.

Dans les chapitres précédents je vous racontais comment lors de ma première semaine en camping je m’étais retrouvé à être pour ainsi dire obligé de jouer le rôle d’une femme dans une pièce de théâtre qui devait être jouée le samedi d’après. Durant les répétitions j’ai appris à sucer et accueillir un sexe d’homme en moi. Je n’ai été bonne qu’à donner du plaisir à tous les comédiens de la pièce qui par la même occasion étaient les animateurs du camping. Même le patron du camping Claude avait profité de mes prestations qui manifestement n’étaient pas si mauvaises. Ma compagne, elle de son côté, avait pris ça avec philosophie et beaucoup de recul. La seule chose qui l’avait contrariée c’est qu’une animatrice profite de ma tenue pour abuser de moi et surtout de mon côté soumis.

Excepté le fait que j’ai dû satisfaire aux envie de mes deux colocataires du bungalow, la deuxième semaine de vacances s’est dans l’ensemble bien passée. Marie était très heureuse car vu ce qu’elle me faisait porter j’avais toujours la pêche je l’honorais où elle voulait quand elle voulait... Thierry et Gilles faisaient toujours attention à s’occuper de moi quand madame n’était pas là. Je prenais grand plaisir à les satisfaire et surtout sentir leur sexe à tour de rôle coulisser dans mon conduit intime. J’aimais surtout la façon dont ils me traitaient, toujours avec une grande douceur, vraiment comme si j’étais une femme. Dès que je sentais leurs mains sur mon corps ...

... déjà vêtu de dessous féminins j’étais dans tous mes états.

En général ils venaient s’occuper de moi pendant que ma belle allait faire de la gym ou des courses ou se balader avec ses copines. Leur côté directif et mon côté soumis faisaient que j’étais toujours en train de leur obéir pour leur faire tout ce qu’ils désiraient. 1 jours sachant que Marie était partie pour un bon bout de temps, ils m’ont emmené dans leur chambre et m’ont carrément mis un gros collier en cuir et des bracelets en cuir aux poignets qu’ils ont attachés l’un à l’autre. Ainsi j’étais complètement à leur merci, en même temps cela ne changeit pas grand-chose à d’habitude mais le fait d’être ainsi menotté m’excitait encore un peu plus. Il n’y a pas eu de grands changements par rapport à d’habitude et c’était le fait que le mouvement était un peu limité.

Maintenant avec l’habitude je reconnaissais leur deux sexes les yeux fermés, je savais les reconnaître à l’odeur au moins ou à l’anatomie. C’est vrai que avec le temps j’avais pris l’habitude de les sucer et que j’y avais aussi pris goût. En fait là j’étais à genoux sur le lit en déséquilibre et Thierry me tenait la tête pour une fellation, il fallait vraiment que je redouble d’attention à ne pas mettre les dents. Pendant ce temps je ne savais pas trop ce que faisait Gilles mais j’avais le droit à de magistrales claques sur les fesses de sa part, à travers ma robe. Ces dernières étaient un peu douloureuses mais je ne pouvais pas crier car j’avais la ...