1. Premier amour


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, fplusag, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, nostalgie, amourpass, amourcach, regrets, prememois, inithf, Auteur: Séraphin, Source: Revebebe

    ... l’intimider. Je posais mes spatules et m’approchais discrètement. L’homme, d’une cinquantaine d’années, grand, à larges épaules, lui tenait les poignets d’une main et s’apprêtait à la gifler. Mon sang ne fit qu’un tour. Saisissant la pelle à gravats, je me précipitais à son secours au moment où la gifle claqua.
    
    — Lâche-la, lâche-la de suite, ou je te tue… !
    
    Je brandissais ma pelle avec une telle détermination que, de surprise, il recula d’un pas et bascula dans les deux marches du perron.
    
    — Maintenant, va-t’en, ne reviens plus jamais, tu m’entends, plus jamais !
    
    Il reculait au sol, en rampant, complètement ahuri par mon intervention. Je m’apprêtais à le frapper, mais Aurore retint mon bras.
    
    — C’est fini, Jean, je n’ai plus peur de toi, fais ce qu’il te dit… sinon j’appelle la police, tu n’as pas le droit d’être ici…
    
    Il se redressa, épousseta ses vêtements et sortit à reculons par le petit portail. Nous entendîmes la voiture démarrer puis s’éloigner dans un crissement de pneus. L’incident n’avait pas duré plus de dix minutes.
    
    J’étais blême, mes articulations me faisaient mal tellement j’avais serré le manche de ma pelle. Mon cœur battait la chamade. Aurore, les larmes aux yeux, frottait sa joue meurtrie. Elle me prit doucement les mains pour me faire lâcher mon outil, puis nous rentrâmes dans la maison. Elle s’assit sur une chaise maculée de peinture pendant que je me précipitais dans la cuisine pour humidifier un torchon. Elle pleurait doucement quand ...
    ... je m’agenouillais contre ses genoux. Avec le maximum de douceur dont j’étais capable, j’écartais ses mains et nettoyais son visage. Elle me regarda intensément.
    
    — Tu l’as compris, c’était mon ex-mari. Il ne doit pas être ici… Tu as été magnifique, très fort, mon défenseur, mon homme…
    
    Ce faisant, elle m’embrassa sur les lèvres, brièvement. Comme dans un rêve, je lui rendis son baiser, maladroitement, puis elle se leva et m’entraîna vers sa chambre.
    
    — Tu l’espérais depuis longtemps, n’est-ce pas ?
    
    Elle fit glisser mon tee-shirt, ôta son débardeur et dégrafa son soutien-gorge blanc. Mon cœur battait à tout rompre quand elle dévoila ses seins, fermes et ronds, plus beaux que je ne pouvais les imaginer. Elle se débarrassa ensuite de son jean de travail puis fit glisser sa culotte de dentelle blanche. Elle était nue devant moi. Elle déboutonna mon pantalon, puis fit glisser mon caleçon. Nous nous allongeâmes sur son lit. J’étais pétrifié, ne sachant que faire devant mon absence d’érection. Aurore prit ma main et la posa sur son corps, la dirigea vers ses seins, puis elle m’embrassa.
    
    — Rien ne presse, prenons notre temps…
    
    Petit à petit, la tempête s’apaisa et je repris mes esprits. Mon corps réagit enfin à ses sollicitations. Elle m’attira sur elle, me guida, et je la pénétrais. Mais, après quelques va-et-vient qui me semblèrent très courts, j’explosais en elle, rapidement, trop rapidement… Aurore comprit très bien mon désarroi.
    
    — C’est ta première fois n’est-ce ...
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