1. Premier amour


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, fplusag, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, init, nostalgie, amourpass, amourcach, regrets, prememois, inithf, Auteur: Séraphin, Source: Revebebe

    ... rentrais harassé, affamé aussi, puis j’expédiais mon travail scolaire avant de m’endormir comme une masse.
    
    Nous travaillions le samedi, et quelquefois le dimanche, quand je ne jouais pas. C’était un vrai plaisir de travailler aux côtés d’Aurore. Sa simplicité, sa confiance en moi faisaient merveille. Pendant nos pauses autour d’un café, couverts de poussière, nous discutions à bâtons rompus. J’en appris un peu plus sur sa vie. Elle avait hérité sa maison d’un vieil oncle célibataire. Séparée dans la douleur de son mari, elle tentait de refaire sa vie loin de lui, et par voie de conséquence loin de ses amies et famille. Sa fille Laure passait une année aux States, à L-A plus exactement, et lui manquait énormément. Elle n’avait pour l’instant pas très envie de reprendre une vie sociale ou sentimentale, et ma compagnie lui suffisait amplement.
    
    Parfois je l’observais à la dérobée. Si elle était mince, elle n’en avait pas moins de belles formes, une poitrine qui me paraissait généreuse et un fessier des plus agréables quand il se tendait sous sa salopette. Je fantasmais sur son corps et me masturbais abondement sous la douche ou dans mon lit en pensant à elle. Nous étions maintenant à la mi-mai et, la chaleur aidant, je découvris quelques nouvelles parties de son corps, ses épaules, ses bras, la naissance de ses seins qu’elle retenait dans des soutiens-gorge de dentelle dont elle remontait cinquante fois par jour la bretelle gauche.
    
    Un samedi, alors qu’elle était partie ...
    ... pour les courses hebdomadaires, j’avisais la corbeille à linge dans la buanderie. Le cœur battant, j’en retirais un de ses soutiens-gorge blancs, puis une petite culotte bordée de dentelle. J’en humais longuement l’odeur épicée. La portière de la Golf me tira brutalement de mon extase et je glissais précipitamment le fin tissu dans ma poche.
    
    Le chantier progressait à un rythme soutenu. Après avoir abattu les cloisons de briques, nous avions déposé les vieilles menuiseries en bois exotique et reposé les nouvelles, en chêne et à double vitrage. Nous commencions le doublage des murs extérieurs.
    
    Ma mère était aux anges : je ramenais tous les mois une paye rondelette qui desserrait sensiblement notre étreinte financière. Nous pouvions désormais nous permettre quelques extras. Elle s’acheta des vêtements, s’offrit le coiffeur et l’esthéticienne, toutes ces choses qui redonnent confiance à une femme. Nos rapports s’améliorèrent sensiblement : finies les empoignades et les prises de bec. Nous prenions plaisir à nous retrouver, à discuter du chantier, d’Aurore, du lycée où mes résultats s’amélioraient au point que mes professeurs m’encourageaient à poursuivre vers un bac professionnel…
    
    Un jeudi soir, alors que j’enduisais les joints sur des cloisons, se produisit un incident qui allait changer la nature de nos relations. Sur le perron, j’entendis des éclats de voix, celle d’Aurore, très énervée, et la voix d’un homme que je ne connaissais pas, mais qui tentait visiblement de ...
«1234...9»