1. La curiosité est un vilain défaut mais....


    Datte: 24/12/2018, Catégories: f, fh, ff, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... tête. Grossies par les loupes, leurs jambes semblent encore plus longues.
    
    Au premier passage, l’objectif s’arrête longuement à la pointe du triangle intime où la peau disparaît sous l’étoffe des maillots (rouge sang pour la blonde et jaune canari pour la brune). Marah essaie de traquer, en vain d’ailleurs, le moindre signe de masculinité chez Noël, mais aussi chez Claude au gré de leurs déplacements.
    
    Devant son échec, elle remonte les lunettes. Mon dieu, ce jaune et ce rouge tapissant ces petits culs gonflés qui passent et repassent devant ses yeux. Une translucide humidité, par endroit, accentue la rotondité de ces fesses lisses, laisse deviner les sombres canyons qui séparent les deux globes jumeaux. Deux globes jumeaux dont les parties supérieures, abandonnées par les maillots, dévoilent, aux regards exorbités de Marah, leurs laiteuses rondeurs et la naissance de leur raie culière. Aussi quand une main aux longs doigts fins s’immisce sous le maillot rouge, l’envie de tendre la sienne pour rejoindre celle qui lui paraît faussement si proche est très forte.
    
    Ersatz de circonstance, sa main gauche s’engouffre entre ses cuisses et entame un va-et-vient sporadique. Son corps tremble sous la montée du plaisir. Elle a de plus en plus de mal à cadrer les deux protagonistes. Cette main indélicate qui, soulevant le canoce, s’insinue dans la fente et écarte les chairs la rend folle. Sa main s’agite de plus en plus.
    
    Au gré de la fantaisie des filles, le jaune chasse ...
    ... le rouge. C’est presque avec soulagement qu’elle accueille ce changement de décor. Du côté jaune, pas de main investigatrice ! Ce nouvel éclairage permet un relatif retour au calme dans son entresol. Elle n’interrompt pas pour autant son mouvement, mais lui confère un rythme «d’entretien». Les mains de la blonde, Claude, s’affairent dans le dos de sa copine. Marah, retrouvant un peu de sang-froid explore tranquillement le dos de Noël. D’autant plus complètement qu’à un moment un soutien-gorge jaune traverse son champ de vision avant de disparaître sur la droite tandis que les mains de Claude disparaissent dans la brune chevelure qu’elle caresse amoureusement.
    
    Par un nouveau retournement de situation, elle se rend compte que si la brune n’a plus de soutif, la blonde a tout perdu, elle est entièrement nue. De saisissement, Marah arrête ses caresses. La bouche grande ouverte, les doigts crispés sur le métal, les yeux collés aux viseurs, elle bave devant ce petit cul offert aux caresses de Noël. Elle le devine ferme, lisse, soyeux. Elle voudrait plonger son nez, ses lèvres dans cette fente ouverte au soleil. Elle ne tient plus. Par une gymnastique insensée, sans perdre une miette du spectacle qui se déroule dans le petit jardin, elle parvient à dégrafer son jean, le descendre sur ses genoux. Sans prendre la peine de baisser la culotte, ses doigts la contournent, s’engouffrent dans sa vulve inondée. Ils entament une masturbation aussi violente que profonde.
    
    Elle voit, ...
«12...456...18»