La curiosité est un vilain défaut mais....
Datte: 24/12/2018,
Catégories:
f,
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... dégage un potentiel érotique certain. Marah ne différencie plus vraiment ce qu’elle voit de ce qu’elle imagine. Un sein malicieux s’échappe de sa prison, vite remis en place par une main à la propriétaire indéterminée. Un maillot glisse laissant apparaître une large parcelle de peau blanche. Une main, la même ou une autre répare l’outrage. Cette eau venue de nulle part se divise en de multiples petites sources.
Sources coquines qui, cascadent aux cimes des monts mamellaires, se perdent dans les profondeurs des soutifs pour ressurgir un peu plus bas. Les trajectoires aléatoires et changeantes de ces rus sur les plaines ventrales déjà bronzées donnent naissances à de milliers de petites étoiles scintillant au soleil couchant.
La main gauche de la voyeuse, dotée d’une volonté d’indépendance, s’est glissée sous le t-shirt et malaxe machinalement son sein droit qui durcit inéluctablement alors que son téton s’érige fièrement. Une chaude moiteur envahit progressivement son bas-ventre. C’est alors qu’elle croit voir… Voir cette bosse qui distend le slip!… Son imagination lui joue des tours ! Elle a tellement envie de la voir qu’elle la voit… Seul problème, le slip qui est déformé est celui de la blonde, donc la fille, Claude ! Ça devient n’importe quoi !
Elle se lève brusquement, court dans une des chambres d’ami, ouvre brutalement le tiroir du bas d’une commode. Elle fourrage nerveusement dans le fouillis qui remplit ledit tiroir. Elle se met à jurer :
— Flûte ! Elles ...
... étaient encore là la semaine dernière. Au bout de quelques secondes qui lui paraissent une éternité et après une série de jurons bien sentis, elle déniche enfin ce qu’elle cherchait : une paire de jumelles de théâtre.
En toute hâte, elle regagne son poste d’observation. Pendant sa courte absence, la situation a évolué. Sa température intérieure monte immédiatement de quelques degrés. Sans avoir abandonné le tuyau que l’une d’elle tient comme un parapluie, les filles, tendrement enlacées, s’embrassent à pleine bouche.
Abasourdie, Marah reste un instant les bras ballants sans même penser à utiliser ses jumelles. C’est seulement quand elle sent la dureté métallique de l’objet contre son mont de vénus qu’elle se rappelle leur existence. La première stupeur passée, sa main s’est immédiatement portée là où la situation l’exigeait. Elle porte les oculaires à ses yeux. Pour régler la vision, ses deux mains sont nécessaires. Il ne lui reste provisoirement que le montant de la chaise pour tenter de juguler cette démangeaison qui dévore son entrecuisse. Enfin vision, claire et nette ! Elle peut avec délectation promener ses jumelles sur l’intégrité de ces deux corps absolument féminins, mais ce qui l’obsède quasiment lui reste caché.
Les deux «filles» sont à ce point soudées l’une à l’autre qu’il lui est totalement impossible de discerner quelque renflement que ce soit. Elle se rattrape en effectuant un long balayage vertical, de l’extrémité de leurs petons au sommet de leur ...