1. La curiosité est un vilain défaut mais....


    Datte: 24/12/2018, Catégories: f, fh, ff, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... énergiquement.
    
    Quelques secondes de l’orgasme.
    
    Elle veut aller au bout, ne pas manquer l’assaut final !
    
    Allant chercher au plus profond d’elle-même, elle use de ses toutes dernières forces de résistances : elle bloque son corps au fond du fauteuil, se force à ôter sa main de la source de lave brûlante qu’est devenue sa vulve, la crispe sur le métal de la lunette.
    
    Bien encastré, Noël continue sa séance de trot attelé.
    
    Claude a souplement passé ses mains derrière la nuque de son amant, tournant la tête, elle lui offre ses lèvres.
    
    Il les baise doucement, follement, amoureusement profitant totalement de la magie de l’instant.
    
    Une seconde, une toute petite seconde Marah est gênée par cette espèce de viol qu’elle commet tant il se dégage d’amour de cette étreinte.
    
    La passion qui lie ces deux êtres crée autour d’eux un halo protecteur, les enferme dans un cercle privé auquel elle n’aura jamais accès.
    
    Après ce bref instant de remords romantiques, elle s’abandonne, sans retenue aucune, au plaisir sulfureux du voyeurisme.
    
    Le pilonnage artistique du postérieur perdure alors que les mains de Noël disparaissent à la hauteur des cuisses de la petite blonde.
    
    Aux mouvements qu’accomplissent les bras, Marah « voit » les mains qui peignent le minou sans aucun doute très entretenu, qui joue avec le clitounet roidi sous son petit capuchon, qui s’introduit entre les cuisses pour atteindre la fente dégoulinante de mouille.
    
    Elle serre nerveusement les doigts ...
    ... sur les manchons des jumelles résistant encore à ce plaisir qu’elle veut simultané avec le leur.
    
    Les deux amant(e)s entament une danse du désir, un ballet informel.
    
    Soudé, leurs corps oscillent, jouant dangereusement avec les lois de la pesanteur.
    
    Des petits pas glissés les éloignent du lit, les approchent de la fenêtre.
    
    Au gré de ce déplacement erratique, ils pivotent sur eux-mêmes.
    
    Marah peut ainsi profiter d’une vue, d’une érotissimale vue de profil :
    
    l’harmonieuse rondeur du lisse et rond cul très féminin de Noël/Noëlle,
    
    sa chute de rein qui aurait rendu jalouse un bon nombre de gonzesses ;
    
    les petits seins aux pointes tendues de Claude,
    
    son ventre plat,
    
    les mains de Noël qui fouille dans son sexe
    
    et surtout cette bite (vraiment d’une élégance rare) qui apparaît,
    
    disparaît sans varier de rythme depuis un temps qui lui paraît infini.
    
    Elle va craquer ! C’est trop !
    
    À ce moment, Claude lui fait face.
    
    Les mains de Noël abandonnant le sexe s’intéressent une nouvelle fois à la poitrine de sa partenaire.
    
    Alors tout explose dans la tête de Marah.
    
    Sans qu’elle ne fasse aucun geste,
    
    l’orgasme qu’elle a si longtemps retenu la submerge, séisme absolu.
    
    Une onde de chaleur comme elle n’en a jamais ressenti la transperce,
    
    la brûle du bout des cheveux à l’extrémité des orteils.
    
    Sa mouille ruine le fauteuil sur lequel s’écroule son corps secoué de spasmes violents.
    
    Elle a l’impression qu’on lui arrache les seins.
    
    Ses deux ...