1. La curiosité est un vilain défaut mais....


    Datte: 24/12/2018, Catégories: f, fh, ff, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... velours recouvrant le fauteuil. Cette nouveauté dans ses pratiques multiplie son excitation ; elle sent son liquide d’amour couler le long de ses lèvres, humidifier le velours.
    
    Ses contractions d’abord volontairement provoquées deviennent rapidement incontrôlables.
    
    De ses nichons aussi durs que de la pierre se diffuse une délicieuse souffrance.
    
    De l’autre côté de la rue, elles persévèrent dans leurs caresses amoureuses pas réellement pressées de conclure.
    
    Qu’est-ce qu’ils attendent pour passer à des choses plus sérieuses !
    
    Elle n’en peut plus de retenir son plaisir.
    
    Pourtant, il n’y a pas cinq minutes, elle jouissait comme une folle.
    
    Comme s’il l’avait entendu, Noël dégage sa queue de la gangue qui l’enserre.
    
    Se déplaçant sur ses genoux, il vient se placer derrière Claude.
    
    Il pointe son dard contre ses fesses.
    
    L’élégante verge qu’elle devine à la limite de l’apoplexie s’insinue entre les deux globes laiteux.
    
    Deux mains cramponnant avec un conformisme certain les mamelons de la blonde enfant, Noël/Noëlle engage franchement sa queue.
    
    Mais… Mais… S’il continue sous cet angle, il va la…
    
    Prise d’une frénésie soudaine, Marah règle ses jumelles de manière à être au plus près de l’action.
    
    Elle a bien jugé : il s’apprête à la sodomiser.
    
    Bordel, il faut qu’elle tienne. Elle ne veut pas rater ça.
    
    Dépêche-toi, Noël, hurle-t-elle silencieusement. Dépêche-toi ! Encule-la, nom d’une pipe de St Claude ! Maintenant ! Sinon, je vais tout ...
    ... rater.
    
    Tout rater peut-être pas car l’orgasme qui approche s’annonce sous les meilleurs auspices.
    
    Si cette tornade se déclenche, elle risque de manquer la fin du film.
    
    Ses cuisses instruments de caresses s’agitent de plus en plus anarchiquement.
    
    Les frottements/contractions de son bas ventre contre le velours se muent en de sonores clapotis.
    
    Elle presse alternativement ses seins comme s’ils étaient des oranges (enfin plutôt de très gros pamplemousses) dont elle voudrait extraire le jus jusqu’à la dernière goutte.
    
    Enfin ! Son bassin s’appuie contre les fesses ouvertes.
    
    Elle ne voit plus la bite mais elle la sait enfoncée complètement dans les entrailles.
    
    Bien agrippé(e), il/elle entame un va-et-vient de sénateur.
    
    Quelle endurance et quelle patience !
    
    À la place de Claude, elle aurait pris les choses en main (c’est une façon de parler) depuis un moment et elle lui ferait cracher sa semence à ce jeune dévergondé.
    
    D’ailleurs, la petite blonde commence à s’impatienter.
    
    À quatre pattes, elle avance vers le lit, son petit camarade toujours planté au fond de son fondement.
    
    Prenant appui sur ses mains qu’elle pose sur les draps, elle entreprend de se relever aidé en cela par Noël qui lui aussi s’aide du lit pour retrouver la situation verticale.
    
    L’érotisme émanant de cette scène entraîne Marah au bord de l’explosion.
    
    Elle fait reluire le velours et sa main, délaissant sa poitrine, plonge dans son sombre gouffre inondé qu’elle fourbit ...