Un opéra peu classique
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
fh,
cinéma,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple,
Auteur: Martin, Source: Revebebe
... retenus la scène, de jardin à cour et retour. Le bien-fondé de cette chorégraphie dépassait allègrement les facultés de mes pauvres neurones, mais elle eut un effet immédiat sur le flux sanguin dans une partie très précise de mon être, située bien plus bas que mon cerveau, encore que…
Je ne pus empêcher ma main de se poser sur le genou de ma femme. Je haïssais déjà la petite table basse qui nous séparait. Adeline semblait pourtant aimer mon geste, car consciemment ou pas, elle ouvrit légèrement les cuisses pour que je puisse en atteindre l’intérieur. Comme je ne trouve pas très agréable de caresser un bas nylon, ma main est allée de plus en plus à la recherche de la chair douce au-delà de la jarretière du bas. Dès que j’étais arrivé à destination, elle serra les cuisses pour me prendre au piège. Elle affichait un sourire narquois sans pour autant détourner son regard de la scène dont la jeune femme avait malheureusement disparu.
J’aimais ça, cependant, et me mis à palper avec douceur l’intérieur des cuisses d’Adeline, désormais ouvertes. Lentement, je pressai ma main vers le sommet de sa jambe. Je voulais taquiner l’élastique de son slip, comme je le faisais régulièrement au lit. J’avais hâte de savoir le genre de dessous qu’elle portait : un joli tanga ? une culotte en coton d’ado ? un mini-string affriolant ? Il n’en fallait pas plus pour que ma machine imaginative s’emballe autant que mon sexe dans mon boxer. Jusqu’à ce que mes doigts explorateurs en vinrent à ...
... tâter… des poils ! Je regardai ma femme avec émerveillement. Elle avait l’air faussement surprise.
— Oh, j’ai oublié quelque chose, murmura-t-elle, les yeux toujours rivés sur la scène vide.
Et d’ajouter ironiquement :
— T’avais qu’à pas me perturber quand j’étais dans la salle de bain !
Bien sûr, mon petit doigt rechercha et trouva rapidement sa grotte délicatement couverte d’une douce toison. En réaction, elle écarta les jambes un peu plus et s’affaissa quelque peu dans son fauteuil. Je considérai cela comme un encouragement clair à continuer sur la voie choisie.Vas-y, Jeannot ! me dis-je. Je bandais comme un cosaque et commençai à masser sa chatte plus intensément. En effectuant quelques va-et-vient de mon index dans sa fente, je sentis clairement que le taux d’humidité y avait considérablement augmenté. Adeline mouillait même abondamment.
Aussitôt, elle commença à pétrir le renflement créé dans mon pantalon. J’étais excité comme un étalon en présence de sa jument favorite en chaleur. Adeline se mit à jouer avec la fermeture éclair de ma braguette et ses doigts habiles sortirent ma queue de sa prison devenue beaucoup trop exiguë. Elle retroussa alors lentement le prépuce de mon pénis. Avec sa langue pointue, elle lécha la première trace d’humidité apparue sur le gland alors que ses mains entamaient une lente, mais énergique branlette. Puis, d’un mouvement délicieusement sensuel, elle se pencha davantage et me happa jusqu’au fond de sa gorge. Adeline est une vraie ...