1. Un opéra peu classique


    Datte: 23/12/2018, Catégories: fh, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, couple, Auteur: Martin, Source: Revebebe

    ... pipophile active, il faut le savoir. Moi aussi, mais alors strictement passif. Ça faisait partie intégrante de nos préliminaires. De plus, elle était incroyablement adroite, elle ferait jouir un émasculé ! Après quelques secondes, ma virilité était prête à narguer la tour Eiffel. Mais ma femme était suffisamment qualifiée pour ne pas me laisser aller trop loin.
    
    Mon tour arriva donc. Adeline s’était assise sur le bord antérieur de son siège. Entre-temps, elle avait ôté sa jupe et ouvert son chemisier, de sorte que, malgré la lumière tamisée de la loge, j’avais une vue magnifique sur tous ses charmes féminins, car elle ne portait pas plus de soutien-gorge que de culotte ! Je m’étais alors accroupi entre ses genoux. Même dans cette relative obscurité, je pouvais voir que sa vulve était gonflée et brillait d’humidité. Je me mis à la lécher avec délicatesse. Son odeur était encore plus excitante. Je léchais sa chatte et suçais ses lèvres intimes. Lorsque je touchai son clitoris du bout de ma langue, une secousse électrique sembla la traverser. Je la sentis jouir : tous ses muscles s’étiraient et elle se redressa brusquement sur son siège en émettant un bruit strident. Mes grognements de plaisir se confondaient aux siens. Heureusement, l’orchestre jouait assez fort à ce moment-là.
    
    Tout à coup, elle se pétrifia, le regard médusé, rivé droit devant elle, comme Bernadette Soubirous apercevant la Vierge Marie dans la grotte de Lourdes – comparaison audacieuse, j’en ...
    ... conviens.
    
    — Regarde ! me fit-elle la gorge nouée.
    
    Je me relevai et tournai mes yeux vers la scène. De jolies danseuses très dévêtues sur la partie supérieure de leur corps virevoltaient joyeusement entre les chanteurs sur un allegro particulièrement allègre. Beau tableau, certes, mais rien qui puisse choquer une femme aussi avertie qu’Adeline. Ce n’étaient pas quelques petits seins nus rebondissant qui pouvaient la déstabiliser à ce point.
    
    — Non, pas la scène. Là, juste en face de nous ! Incroyable !
    
    Je tournai la tête en direction de la loge en face de la nôtre : dans la relative obscurité, on distinguait assez clairement le joli corps pâle d’une femme d’entre deux âges, intégralement nue et qui semblait être debout sur deux sièges tant ses jambes étaient écartées. Elle se tortillait légèrement et caressait ses longs tétons pointant comme des bourgeons gonflés de sève. Elle poussait son sexe glabre vers l’avant, l’offrant de la sorte à quiconque en voudrait.
    
    Adeline et moi restions là, bouche bée. « Bernadette, sors de nos corps ! » Au bout de quelques secondes, des mains parurent s’activer sur les cuisses puis sur le sexe de l’inconnue qui, manifestement, appréciait que quelqu’un s’intéressât à elle. Des doigts atteignirent vraisemblablement son point G et firent gicler abondamment l’eau bénite de la Vierge nue.
    
    Soudain, nous vîmes apparaître la tête grisonnante, puis le dos tout aussi nu d’un homme. Il grimpa à la hauteur de sa partenaire, nous montrant des fesses ...
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