Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (2)
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory
... - j’expliquerai pourquoi ultérieurement.
Leila n’eut pas beaucoup de chance avec Jacques, le cinquantenaire du couple : s’il promenait son avion de chasse dans les clubs, c’est sans doute parce qu’il n’était pas très vaillant sexuellement, et que pour la satisfaire, il lui cherchait des bites plus efficaces. Après la « séance », Leila ne manquerai pas de me faire savoir que si moi, j’avais touché le gros lot, il n’en était pas de même pour elle. De fait, une fois nue, Diane révéla un corps incroyable, une sorte de liane mais avec des formes, des petits seins parfaits que je suçais longuement. Je fis à Diane tout ce que j’osais alors dans une telle circonstance : léchage de la chatte, de l’anus, intromission de mes doigts dans tous les trous. Je finir pas la baiser bien entendu, mais je n’osai pas trop demander ce qui deviendrait mes vrais objectifs dans une relation de sexe : me faire lécher et doigter le cul notamment (par chance, j’aurai l’occasion de constater que les filles aiment souvent faire cela, et presque toutes celles que j’ai baisées ensuite m’ont mis leurs doigts dans l’anus, et parfois leur langue). Je me souviens avoir pu embrasser sur la bouche cette fille pendant que je la pénétrai et ce fut merveilleux, mais une chose restait un peu gênante : une forme de passivité. Nous échangeâmes néanmoins nos coordonnées, et pour tout dire, il y aurait une suite (cocasse) à cette histoire.
Leila n’avait, de son côté, ni joui, ni pris de bon temps, me le fit ...
... savoir et il allait donc falloir que je m’en occupe. Nous nous sommes isolés après m’avoir laissé un peu le temps de récupérer. Là, j’ai pu m’occuper d’elle pour la première fois et c’était une bombe. Sa chatte était un vrai aspirateur, et j’ai découvert à cette occasion une pratique qui deviendrait une de mes habitudes : le fist. Ma main entrait sans difficultés dans sa chatte qui avait décidément dû voir du monde. J’adorai d’entrée de jeu cette sensation unique, d’avoir le poing tout entier enserré dans la muqueuse humide. Je pouvais l’y faire pivoter, en sentant contre ma peau les aspérités de son vagin, l’orifice bombé de son utérus. La contrepartie de son antre accueillante est que ma bite y était ensuite un peu au large. Elle le sentit et me demanda :
« - tu as envie de m’enculer ? »
« - j’adorerais… »
« - sort de ma chatte et rentre direct… »
Je sortis ma queue, le préservatif était plein de sa mouille qui formait une sorte de pellicule blanche sur la capote. Avec ma main gauche, je commençai à lui enfoncer un doigt dans l’anus pendant que je me branlai de la droite, pour gagner un peu de rigidité. J’avais enculé une fois ou deux ma femme, mais je n’étais pas un expert.
« - ta bite direct je te dis », protesta t’elle en sentant mon doigt lui fouiller le derrière.
Je ressortis mon doigt qui n’était pas complètement clean après cette visite. Peut être savait-elle son fondement bien garni et voulait m’éviter d’en avoir sur les doigts. Faute de meilleure ...