Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (2)
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory
... première partenaire un peu régulière de libertinage, avec quatre ou cinq sorties ensemble.
La première rencontre eut lieu dans un bar de la Croix-Rousse, une des collines lyonnaises. Charme oriental, avec les cheveux noirs et tirés, assez jolie somme toute, avec une voix un peu éraillée. Plus jeune que moi, quelque chose comme 28 ou 29 ans. Elle habitait dans une banlieue correcte où j’étais allé la chercher en voiture. Assez rapidement, la conversation tourna autour du sexe et assez rapidement, elle ne fit pas mystère du fait que sa chatte était complètement trempée. Je n’eus pas de meilleure idée que lui proposer de partir en voiture pour aller baiser dans la nature - c’était l’été. Tout le long du chemin, elle alterna entre me branler pendant que je conduisais, et se masturber ; au point de laisser une bonne quantité de cyprine sur le fauteuil de mon 4x4. Nous avons finalement trouvé une petite clairière à l’extérieur de Lyon, et je l’ai prise sur le capot, comme dans un film X des années 80.
Notre second rendez-vous fut pris sur les quais de Saône - non, pas le même qu’avec Dominique, mais nous étions également au premier, à l’écart. Je lui demande si elle voulait bien enlever sa culotte dans le bar et me montrer son sexe. Elle ne mit pas dix secondes à obéir et l’instant d’après, écartait largement les cuisses et les lèvres de sa chatte, Je sentais une forte chaleur m’envahir et lui dis qu’elle était décidément une vraie salope. Elle me répondit que je ne pouvais ...
... pas imaginer à quel point, et qu’elle avait envie de voir ma queue. Je lui montrai et nous décidions qu’il fallait très vite trouver un endroit pour que je puisse la mettre à l’abri dans son sexe qu’elle tenait toujours écarté avec les doigts.
Nous sommes allés dans ce club qui avait vu mon premier trio si délicieux. Avec cette fille, je sentais qu’il allait être possible de « lever » un autre couple et que je pourrai donc baiser deux filles le même jour. Nous nous sommes postés sur une banquette, nos prodiguant quelques premiers câlins, quand une apparition surnaturelle se révéla à notre gauche, sur la banquette d’à côté. L’homme avait une cinquantaine, bien portée, élégant. Elle semblait n’avoir pas plus de 25 ans - et je saurai plus tard qu’elle n’en avait que 19. Elle était étudiante, il était représentant, vivait avec elle, la dévergondait, l’offrait. C’est sans doute une des plus jolie filles que j’avais vu de ma vie. Un corps parfait, jolie comme un coeur, habillée avec une tenue noir, un peu cuir, tendance échangiste mais sans le côté vulgaire qu’on observe quatre fois sur cinq.
Nous avons entamé la discussion et fort peu de temps après, nous étions tous les quatre dans un coin câlin. Je n’avais pas encore sauté Leila, mais, je le dis un peu honteusement, sur le moment je n’avais plus d’yeux que pour Diane, la jeune étudiante à l’air farouche - elle ne disait pas grand chose et semblait sous l’emprise de son homme, un point qui amenuisait toutefois mon excitation ...