Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (2)
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory
Rappel du chapitre précédent : avec celle qui deviendrait bientôt mon ex-femme, je fais mes premiers pas de libertin en club, et je rencontre un couple pour un premier trio. Mais la jeune femme éprouve des sentiments imprévus...
Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.
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Débuts libertins : mes aventures en solo
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Après ces tout premiers pas avec ma future ex, s’ensuivit une longue période d’expériences en solo, tandis que nous progressions vers la séparation et le divorce. De son côté, elle vivait aussi des aventures, moins libertines que simplement romantiques. Cette période remonte à près de vingt ans : je convoque donc mes souvenirs au mieux, mais si je suis assez confiant dans la véracité de ce que je vais raconter, je n’en garantis ni l’ordre chronologique, ni que je ne vais pas oublier quelques épisodes. Mais ce qui sera narré, sera arrivé !
Bien que non encore séparés « techniquement », nous l’étions moralement, je cherchai à profiter de cet espace de jeu tout nouveau constitué de la conjonction entre ma liberté retrouvée, et le libertinage découvert. Pendant plusieurs mois, qui aboutiraient à une rencontre décisive, j’utilisai différents moyens pour mes expériences : le Minitel, qui à l’époque restait le seul vrai moyen de rencontres électroniques, et les clubs et saunas, à Lyon ou à Paris lors de déplacements ...
... professionnels. J’étais avide de sexe, et si un jour ou soir j’avais décidé de baiser, je pouvais passer beaucoup de temps à chatter sur Minitel ou à zoner dans un sauna échangiste.
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Un coup en bord de Rhône
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Un soir de chat sur Minitel (pour les plus jeunes : un service où l’on se connecte - une liste de personnes connectées, avec des pseudos, un mini CV comme sur Tiwtter, et hop, on engage la conversation), je me mis à parler avec une femme dont le pseudo m’échappe aujourd’hui mais qui visiblement avait envie d’un coup de bite. Dominique était plus âgée que moi - j’avais environ 34 ans, elle une bonne dizaine de plus, et se révélerait assez dodue, mais avenante. Après s’être chauffé sur le petit terminal, nous nous donnons rendez-vous à la nuit tombée, dans un bar des quais de Saône, à Lyon. Au premier étage, nous nous lovons ans un petit recoin et sirotons un cocktail au café. Il y a des choses insignifiantes dont on se souvient… la conversation n’a pas duré longtemps, nous avions tous les deux envie de cul. Le recoin étant assez tranquille, je me souviens l’avoir branlée pendant qu’elle suçait la paille emplie d’alcool, puis je lui ai fait sucer mes doigts.
Nous avons ensuite quitté l’établissement et pris ma voiture. On ne pouvait aller ni chez elle, ou il y avait sa fille, ou son fils je ne sais plus, ni chez moi puisque je ne vivais pas seul. Je me souvenais de quelques lieux isolés en ville où j’avais autrefois fait l’amour en ...