1. Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel (2)


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Trash, Auteur: Lyon Libertin, Source: Xstory

    ... voiture avec mes premières petites amies, au temps de mes études. Alors direction les quais de Rhône - aujourd’hui transformés en zones de loisirs et de promenade - qui étaient à l’époque des parkings peu surveillés, et pas forcément très bien fréquentés. Je pose la voiture à l’endroit le plus reculé possible, je verrouille les portes, nous reculons les sièges au maximum et je recommence à lui fourrer mes doigts dans le con. Cette fois-ci, je goute moi-même mes doigts, je suis très excité et plus rien ne peut me dégouter. Je suis d’ailleurs un peu déçu, sa chatte ne sent rien de spécial… elle porte une grande culotte pas très sexy, comme le sont souvent celles des femmes un peu grasses. Pas facile, la jolie petite culotte mignonne, pour certains physiques. Elle l’enlève ,et j’enlève aussi mon pantalon et mon slip. Je bande, sans plus parce que j’ai quand même l’impression de prendre la première venue sans qu’elle me plaise vraiment. Elle me suce, je la baise, mon sperme remplit la capote et peu après nous sommes repartis en direction de la Saône où elle a laissé son propre véhicule.
    
    De mémoire, je n’ai eu qu’une ou deux autres expériences de ce type, pas vraiment libertines en fait, où je baisais des filles un peu esseulées qui ne me plaisaient pas réellement. L’une d’elle m’avait fait de longs discours pour me dire que finalement elle ne voulait pas coucher; nous étions chez elle. Et puis à force de parlementer, je l’ai sautée - elle a même souhaité me recevoir sans ...
    ... préservatif pour sentir le sperme dans sa chatte. Sans doute convaincante car c’est une des rares fois où j’ai abaissé la garde dans ce domaine, sans conséquence heureusement. Et il faut bien reconnaître que la sensation de sa queue entre les muqueuses au naturel, c’est une toute autre histoire qu’avec du caoutchouc - au point que tout au long de ma vie libertine, la pénétration ne sera pas nécessairement mon ultime plaisir. Je ne l’ai plus revue; nous avons un peu échangé par messages, par mail, pour finalement se perdre tout à fait de vue. Elle aussi était plutôt grosse, un un peu marginale, et pleine d’esprit - des caractéristiques qui furent celle de la femme dont j’étais en train de me séparer, sauf que celle-ci avait, depuis, fondu en kilos pour en devenir presque maigre.
    
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    Leila, ultime salope
    
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    Parmi les filles que j’ai rencontrées grâce au Minitel, Leila mérite sans doute la palme de la vraie salope, pour ne pas dire plus. De celles qui couche à la fois parce que c’est une allumée du cul, et facilement, et aussi parce qu’elle cherche à séduire un « bon parti » dont je sens qu’il ne sortirait pas indemne. Dans le milieu libertin, ceux qui sont adeptes de la crudité de langage (j’en suis) utilisent le plus souvent le mot « salope » dans le sens plutôt positif de celle « qui aime autant le cul que les garçons et qui en profite ». Leila, elle, avait une dimension un peu bizarre, pas totalement claire. Mais elle fut sans doute ma ...
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