Nouvelle exhibition à la plage
Datte: 22/12/2018,
Catégories:
ff,
jeunes,
fépilée,
plage,
hotel,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ecriv_f,
Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe
... permettre encore le soulagement de son amie qui geignait d’impatience. Tout d’un coup Isabelle sentit à travers le voile de son excitation une nouvelle caresse qu’elle ne connaissait pas jusque-là, mais qui ne pouvait signifier qu’une chose : Sylvie avait replacé la première boule luisante de la cyprine d’Isabelle entre ses cuisses. Mais cette fois à un autre endroit.
Isabelle sentait toujours davantage la boule de métal chaude de son corps sur son trou des fesses. Sylvie poussa la boule doucement, mais avec une force déterminée contre sa rosette. C’était une sensation inhabituelle pour Isabelle. Elle prit conscience petit à petit que sans qu’elle ne fasse rien, son corps créait une dépression et attira la boule vibrante dans son cul. Durant une minute, elle pensa que la boule ne passerait pas, mais elle se rendit compte que sous l’excitation sa rosette s’était dilatée et avait comme avalé la première boule vibrante. La sensation était nouvelle et tout simplement indescriptible. Elle se sentait comme appelée par un vide vertigineux – comme juste avant un orgasme ultime.
Isabelle haletait de façon incontrôlée. Elle sentit la poussée de la seconde boule sur cette entrée précédemment inviolée, puis la même sensation de vibration étrange quand la boule finit par pénétrer après que ses propres muscles l’aient attirée.
— Encore ! balbutia-t-elle hébétée, Sylvie ...
... encore une…alleeezzz, s’il te plait !
Quand la troisième boule la pénétra sous la pression décidée de la main droite de Sylvie et dans le même spasme de ses chairs intimes, et qu’elle sentit de nouveau la langue de son amie venir titiller son clitoris en feu, plus aucun pouvoir au monde n’aurait pu arrêter le déferlement de son orgasme. L’extase secoua violemment son corps et elle hurla longuement son plaisir. Plus rien ne comptait d’autre que son profond plaisir animal.
Sylvie fut presque déséquilibrée par les tressaillements de son corps. Alors elle se coucha sur le lit, prit son amie dans ses bras et l’embrassa tendrement sur la bouche.
Isabelle restait hébétée et hagarde. Puis ses sentiments se transformèrent en une profonde reconnaissance et elle se mit à pleurer. Ses nerfs avaient lâché après la plus fantastique extase qu’elle ait jamais connu :
— Sylvie, hoqueta-t-elle, je… je ne sais pas, comment … ou pourquoi, … mais je…
Sylvie lui écarta l’une de ses longues boucles brunes de son visage, la regarda calmement dans les yeux et lui dit :
— Mais, moi je sais quelque chose, Isa – et tu t’en rends compte chaque fois davantage toi-même - tu es… non… tu m’appartiens, de la tête aux pieds.
Isabelle la regarda un moment avec un air interrogateur avant de lui rendre son sourire, de hocher la tête et de dire doucement mais d’une voix déterminée :