Nouvelle exhibition à la plage - Histoires de Sexe

Nouvelle exhibition à la plage

... d’efforts pour te dominer et ne pas te faire remarquer !

Sylvie continua de lui sourire moqueusement :

— Ma petite amie devrait en outre s’habituer peu à peu à ne se laisser aller à la jouissance que lorsque je lui permettrai… que quelqu’un d’autre s’occupe de toi ou que tu le fasses toi-même cela ne changera rien ! je veux que tu le saches !

Isabelle la regarda d’abord éberluée, puis baissa les yeux et dit doucement :

— Oui, Sylvie, je vais faire de mon mieux…

Sylvie hocha la tête en signe d’approbation :

— C’est juste. Je sais bien, moi, ce dont tu as besoin. À propos, encore un petit détail : le fil des boules dépasse un peu sous ta robe entre tes jambes. Si on te regarde à cet endroit – et qui ne le ferait pas ? – on pourra voir la boucle au passage…

Au moment où Sylvie disait incidemment cela, elles arrivaient à la croisée de la route qu’elles devaient prendre en direction de l’hôtel. Il n’y avait plus d’abri possible, ni de retour en arrière. De nouveau Isabelle ne pouvait empêcher ses joues de rougir et de devenir brûlantes.

À l’excitation croissante due à la stimulation continue causée par les vibrations des boules venait maintenant se superposer l’idée de ce que penserait quelqu’un qui jetterait par hasard un regard entre ses cuisses et découvrirait la petite boucle du fil…. Comment en était-elle arrivée là ? Sylvie allait bien sûr la libérer, non ? Ce furent les pensées qui obsédaient Isabelle alors qu’elles arrivèrent enfin à l’hôtel, et ...

... traversèrent le lobby. Elle se sentait si mouillée qu’elle avait l’impression que tout le monde devait voir sa cyprine couler sur l’intérieur de ses cuisses. Chaque pas qu’elle faisait, chaque mouvement de jambes envoyait des ondes de plaisir dans tout son corps. Ce n’est qu’à grand peine qu’elle parvenait à retenir ses gémissements, ayant déjà perdu tout contrôle sur son souffle haletant et la couleur rouge foncé de ses joues en feu.

Les regards surpris du couple bien habillé qui avait pris place dans l’ascenseur avec eux ne purent presque pas influencer les réactions de son corps. Bien sûr, ce couple ne pouvait absolument pas deviner ce qui se passait en elle, mais il lui était quand même infiniment douloureux de se voir inspectée par leurs regards interrogateurs avant qu’ils ne quittent l’ascenseur deux étages en dessous du leur en secouant la tête. Sylvie ne pouvait plus cacher sa joie quand la porte de l’ascenseur se referma et qu’elles se retrouvèrent enfin seules :

— Ceux-là avaient le regard complètement idiot de gens qui n’ont jamais vue une fille aussi proche de l’orgasme ! s’esclaffa-t-elle

Isabelle voulut s’enfoncer sous terre. Elle ne s’était pas encore habituée à entendre Sylvie parler de cette façon – d’un côté cela gardait le goût de fruit défendu, de ce-qu’on-ne-doit-pas-dire, mais d’un autre côté elle se rendait bien compte que c’était elle-même qui était sur le point de supplier son amie de lui lécher la fente ici dans l’ascenseur et maintenant, de ...