Nouvelle exhibition à la plage - Histoires de Sexe

Nouvelle exhibition à la plage

... faisait mouiller. Encore un petit regard furtif aux alentours et Isabelle posa les boules entre ses cuisses sur sa serviette, écarta un peu les jambes et épousseta les grains de sable égarés autour de sa fente épilée. Ensuite elle rassembla tout son courage, prit les boules dans sa main droite, écarta de deux doigts de sa main gauche ses petites lèvres nettement trempées et fit glisser doucement les trois boules de métal brillant, l’une après l’autre, dans son vagin. Seul le bout de fil d’environ 10cm et sa petite boucle dépassaient. La sensation était incroyable.

Sylvie l’avait sans cesse observée du coin de l’œil. Elle se tournait maintenant vers Isabelle, se pencha sur elle, lui déposa un petit bisou sur son front brûlant et lui dit en souriant :

— Tu es courageuse ; je savais que tu le ferais. Réjouis-toi de t’être déjà excitée à cette idée. Si tu avais été sèche, ce ne serait pas entré si facilement… Et maintenant debout et enfile ta robe, on ne va pas y passer la soirée !

Isabelle sortit sa courte robe d’été de son sac de plage et se leva. Ce seul mouvement si court, mais assez brusque lui montra clairement l’effet que pouvait avoir la mobilité interne des trois boules. Les boules avaient pris rapidement la température de son vagin et Isabelle sentit tout de suite l’effet d’excitation que lui procurait cette vibration intime. Elle n’aurait jamais deviné que les mouvements induits par les lourdes petites boules intérieures se transmettraient à tout son sexe ...

... pour exciter toutes ses terminaisons nerveuses les plus sensibles. Inconsciemment elle respira bruyamment et le rouge s’empara de ses joues :

— Sylvie, souffla-t-elle, c’est complètement dingue !

Sylvie se moqua :

— Je t’avais prévenue que tu aurais du plaisir sur notre chemin du retour !

Bientôt elles furent hors de la plage et atteignirent le petit bois de pins qui la surmontait. Isabelle était devenue toute rouge au moment de quitter la plage et elle avait l’impression que tout le monde avait remarqué ce qui se passait dans son sexe. C’était presque comme si des doigts lui prodiguaient continuellement de douces caresses à cet endroit sensible. Elle sentait monter en elle les vagues du plaisir. Le seul mouvement de la marche suffisait à entretenir et faire monter toujours davantage cette vive sensation de plaisir, accompagnée d’un ruissellement intérieur incontrôlable. Juste avant la fin du petit bois, comme elle ne vit personne devant, elle ne put plus résister à la tentation : elle passa sa main droite sous sa robe et caressa vivement de son index son clitoris érigé. Alors elle poussa un gémissement, si bien que Sylvie qui marchait devant elle se retourna :

— Enlève ta main, Isa, lui siffla son amie, je veux que tu ressentes cette sensation tout le long du chemin. Je sais combien tu as envie de crier ton plaisir – au milieu de tous les gens qui vont se trouver autour de nous sans rien deviner de tes « sévices » ! Et je me réjouis de savoir combien tu fais ...