1. Nouvelle exhibition à la plage


    Datte: 22/12/2018, Catégories: ff, jeunes, fépilée, plage, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ecriv_f, Auteur: Jocelyne nat, Source: Revebebe

    ... légères que ça, d’à peu près deux centimètres et demi de diamètre et reliées par de courts morceaux d’un fil mince mais résistant qui se poursuivait par delà d’une boule d’extrémité sur une quinzaine de centimètres pour s’achever par une boucle.
    
    Quand Isabelle bougeait la main, elle ressentait quelque chose d’étrange. C’est comme si, à l’intérieur des boules qui devaient donc être creuses, se mouvaient des objets lourds plus petits, vraisemblablement encore des boules, qui communiquaient alors à l’enveloppe externe une vibration bizarre, qui avait l’air presque vivante.
    
    Isabelle regarda Sylvie d’un air interrogatif. Sylvie lui rendit son regard avant d’éclater aussi bruyamment que le permettait le cadre environnant :
    
    — J’y crois pas ! tu te fous de moi ? Tu ne sais vraiment pas ce que c’est, Isa ?
    — Non, vraiment pas ! c’est plutôt déconcertant au toucher…
    — Ouais, ma chérie, alors tu vas avoir une sacrée surprise. Tu ne sais donc pas ce que sont des boules de geisha, hein ! se moqua Sylvie. Alors ne perdons pas de temps. Pourquoi crois-tu donc qu’on les appelle aussi parfois boules d’amour ?
    
    Isabelle regardait les boules pensivement et les fit doucement bouger. Elle commençait lentement à comprendre. Elle regarda Sylvie et ne put empêcher que le rouge lui monte aux joues derrière son bronzage :
    
    — Tu ne veux pas dire que… ?
    
    Isabelle regarda sa fente lisse. Le sourire de Sylvie se fit encore plus moqueur :
    
    — Je vois que tu as deviné, ma petite ...
    ... cochonne, dit-elle d’un air entendu. Elles sont destinées à ta chatte sûrement déjà trempée – toutes les trois, l’une après l’autre. Et je veux que tu te les enfiles ici et maintenant. Notre chemin du retour va être une vraie partie de plaisir pour toi !
    
    Isabelle lui lança un regard de panique :
    
    — Mais je ne peux quand même pas …
    — Oh si ! tu peux ! la coupa Sylvie. Et je ne veux plus entendre en permanence d’autres objections de ta part lorsque je te demande quelque chose. Tu ne veux quand même pas m’énerver, non ?
    — Non, non, bien sûr que non, répondit Isabelle d’un air penaud.
    — Alors magne-toi de faire entrer ces trucs. On s’en va !
    
    Sylvie se leva brusquement pour rassembler ses affaires.
    
    Isabelle était restée assise et regardait autour d’elle, nerveuse. Devait-elle vraiment s’enfiler ces boules ici, à la plage ? Les gens les plus proches étaient à au moins cinq mètres et, derrière eux rares, seraient ceux qui pourraient deviner.
    
    Mais elle sentait comme si tous les gens n’attendaient que le bon moment pour la regarder et la prendre en quelque sorte en flagrant délit. Cette pensée l’embarrassait. Ses joues la brûlaient. Mais que pouvait-elle faire d’autre ? Elle ne voulait pas froisser Sylvie, ni lui donner la satisfaction de la voir échouer à trouver le courage d’obéir encore cette fois. Non, elle ne lui donnerait pas l’occasion de se plaindre de sa conduite.
    
    En outre, elle ressentit d’un coup, et en eut honte, que la pensée de ce qu’elle avait à faire la ...
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