Chocolat et Folies Bergères - Histoires de Sexe

Chocolat et Folies Bergères

... s’approche encore, j’aurai, c’est le cas de le dire, de quoi me mettre sous la dent… Je n’avais jamais vu une telle paire de grandes lèvres, longues et toutes pendantes, d’un brun rose, luisantes du désir de se faire manger le plus tôt possible.

Pendant que les autres femmes applaudissaient la prestance artistique de Miss Paris, je ne pouvais détacher mon regard de cette partie de son corps. Miss Paris s’est alors approchée de moi et m’a doucement demandé :

— Mais qu’attends-tu pour me dévorer, mon gros méchant loup ?
— Euh ! Oui, bien sûr…
— Et tu as le goût de me dévorer toute entière… Dis-le !
— Oh, que oui !
— Et tu sais que tu vas en avoir plein la bouche, n’est-ce pas ?

Le regard scotché sur ses grandes lèvres d’où je voyais maintenant perler quelques gouttes de cyprine, aucun mot ne sortait plus de ma bouche.

— Bouffe-moi bien et je te ferai voir les étoiles, mon beau jeune homme.

Me prenant la chaise pour y poser son petit cul, elle m’a attiré vers elle, m’engouffrant la tête entre ses jambes. Léchant chaque centimètre de chair, suçant une à une ses grandes lèvres, j’ai alors eu l’idée de m’en remplir les joues, dégageant la route à ma langue vers le fond de son antre et massant de mon nez son clitoris déjà sorti de son capuchon. Elle gémissait comme une folle, tanguant du bassin afin de venir à ma rencontre à chaque poussée de ma langue dans son vagin. Commençant à avoir des crampes, j’ai alors décidé de lui donner un dernier assaut afin de la ...

... faire chavirer dans l’autre monde, celui des gens heureux. Il ne lui en fallut pas plus pour la faire décoller d’un trait, m’arrachant presque les cheveux afin que je ne détache pas mes lèvres de sa chatte pour qu’elle puisse vivre son orgasme en entier.

Après avoir repris ses esprits, Miss Paris, le regard encore un peu perdu dans les nuages me dit simplement :

— À toi maintenant de faire le spectacle. Même si tu viens de gagner ton pain, tu dois encore séduire l’assistance avant de recevoir ton dû.

Elle m’a alors tendu la main, me faisant me relever. Plaçant ma chaise au centre de la pièce, elle m’a demandé d’y monter. Quel autre choix avais-je ? Surtout que, depuis mon arrivée au spectacle, Miss Laval me servait et resservait sans cesse du champagne en me demandant de faire cul sec à chacun des morceaux de vêtement que Miss Paris enlevait. Pour un jeune homme de dix-huit ans, cinq verres en quinze minutes sont suffisants pour faire voir des étoiles et se sentir léger. C’était comme si j’étais assis sur un nuage. Mais, debout sur une chaise, je me sentais comme en équilibre sur un mince fil de fer, et ce dernier ne cessait de changer de place à toutes les secondes.

Miss Paris a alors commencé, sous les encouragements de toutes les autres spectatrices, à retirer ma chemise, d’abord de mes pantalons puis, défaisant les boutons un à un, elle l’a fait glisser le long de mon corps, touchant du bout des doigts la pointe de mes seins ainsi que tous les contours de mes ...