Chocolat et Folies Bergères - Histoires de Sexe

Chocolat et Folies Bergères

... muscles, me faisant frissonner de plaisir à chaque fois. Elle lança à Miss Laval cette chemise de flibustier, lui disant qu’à partir de maintenant, je n’en aurais plus besoin. La suite s’annonçait… chaude en couleurs.

N’ayant qu’à tirer sur le cordon retenant mon Panama Jack à la taille, elle n’hésita pas une seconde à dévoiler aux yeux de ces dames ce qu’elles avaient toutes déjà vu mais ne dédaignaient pas de revoir. Mal lui en fut lorsque le haut de ma culotte se trouva retenu par l’érection qui avait gagné mon membre. Elle a donc dû, ne se privant pas de m’empoigner le sexe fermement de sa main droite, faire glisser par-dessus, avec sa main gauche, le rebord de mon pantalon afin d’en arriver à ses fins.

— Oh ! Que c’est beau un s… Alex ? Mais tu n’avais pas le sexe épilé lorsque tu es arrivé cet après-midi ! lança, toute surprise, Miss Laval.
— Ah ! Madame Laval a contrôlé la marchandise. Ah bon, on se sert avant les invitées maintenant ! de répondre Miss Paris.

Miss Kyoto, ne laissant pas à Miss Laval le temps de répondre, lança :

— C’est moi qui ai fait cela à Alex lorsque je suis arrivée. Je trouve tellement beau le sexe d’un homme en érection que je n’ai pas pu résister à l’envie de le dénuder de tous les obstacles qui m’en séparaient.
— Et le petit coquin s’est laissé faire, ajouta Miss Paris en me donnant une petite tape sur le bout de la queue.
— Avais-je le choix ? Miss Kyoto a les mains si douces et le rasoir si précis qu’elle m’a presque fait ...

... jouir en me rasant ainsi.
— Vicieuse, va ! dit Miss London en riant.
— Jalouse ! de répondre en riant elle aussi Miss Kyoto, mais vous ne savez pas ce que je lui ai fait après… Et vous ne le saurez pas, Nah Nah Nah…
— Pas besoin de savoir, car même discrète, nous vous avons entendue jouir, Miss Laval et moi, répondit Miss Ouaga.
— On écoute aux portes dans votre pays, Miss Ouaga ?

Et cet échange de « verbouillage » tout en sous-entendus s’est poursuivi ainsi plusieurs minutes alors que moi, le sexe à l’air, ramollissant lentement, j’étais toujours debout sur cette chaise placée au milieu de la place, les bulles de champagnes dansant devant mes yeux et dans ma tête. C’est alors que Miss Paris, ne prêtant plus oreille à ces dames, me tira à l’écart en me soufflant à l’oreille :

— Viens mon beau, nous avons mieux à faire que d’écouter ces vieilles mioches. Suis-moi !

Emportant la chaise sur laquelle j’étais juché avant, nous nous sommes retirés dans un coin plus tranquille. Me demandant de m’asseoir gentiment, elle s’est mise à genoux devant moi. Prenant mon sexe en main afin de le remettre en état de marche, elle le branla quelques instants avant de l’engouffrer entre ses lèvres, suçant et tétant à chaque montée et descente sur mon pieu. Mon appareil redevenu apte au service, elle se leva et vint tout simplement s’asseoir sur moi, une jambe de chaque côté, m’offrant sa poitrine à bouffer et déposant sur mes lèvres un baiser torride.

Se dandinant, mon sexe simplement ...