Chocolat et Folies Bergères - Histoires de Sexe

Chocolat et Folies Bergères

... poitrine, surmontait une longue jupe noire prête à voler en l’air au premier « step up » de ses genoux. Ses cuisses sans bas, étant donné la chaleur qui régnait en cette saison, n’en étaient pas moins garnies d’un porte-jarretelles délicatement accroché à une bande de tissu entourant sa cuisse, imitant ainsi le haut d’une paire de bas. J’avais devant les yeux Blanche Neige en personne.

La musique commençait à peine que Miss Paris en était déjà à défaire son corsage, libérant ainsi sa généreuse poitrine intégralement bronzée. Elle est alors venue déposer sur ma tête son vêtement, l’attachant sous mon menton comme un bonnet. Après un effleurement de ses lèvres sur les miennes, elle est retournée au centre de la pièce pour continuer sa danse. Ne pouvant dégrafer seule sa robe, elle s’est mis dos à moi, se penchant vers l’avant, me tendant son petit cul bien rond afin que je la libère de ce vêtement. Fermeture éclair descendue, elle s’est prestement retournée, me montrant du doigt comme si j’avais été polisson en pensant que je pouvais aller plus loin dans ma démarche. Toutes les autres éclatèrent de rire de la voir ainsi me rabrouer faussement.

Elle laissa alors tomber sa robe au sol puis, d’un saut agile, la fît passer sous ses pieds et me la projeta en pleine figure, riant de sa réussite. Afin de ne pas me laisser ainsi affublé, elle est alors venue la plier et la placer autour de mon cou en guise de foulard qu’elle noua sur ma nuque, se penchant par dessus mon épaule et ...

... me présentant ainsi ses tétons à lécher. Elle n’a pas eu à me faire deux fois cette offre que j’en avais déjà un entre les lèvres et l’autre en pleine main. Se libérant de cette caresse, elle m’a corrigé doucement d’une petite tape sur la main, me montrant d’un geste du doigt que j’étais insolent de profiter ainsi de la situation. Ce qui fit encore plus rire les autres dames regardant le spectacle.

Ne pouvant enlever sensuellement des bas inexistants, elle s’est alors attaquée à son minuscule string qui cachait à mes yeux son superbe minou délicatement épilé et coiffé d’un petit triangle brun en guise de panneau indiquant sans retenue le chemin du paradis. String doucement enlevé, elle s’est avancée vers moi, m’en a fait un masque de chirurgien, chacun des côtés solidement accroché aux oreilles, s’assurant ainsi que le fond, complètement trempé de sa mouille, se retrouvait directement sous mon nez, m’obligeant ainsi à humer son désir et, de la langue, à goûter son plaisir. Je n’ai pas à vous dire que tous ces petits jeux avaient eu sur moi pour effet de faire monter « pôpaul » au garde à vous.

Elle se tenait complètement nue devant moi, me laissant le loisir de me délecter de son corps centimètre par centimètre. Et c’est là que j’ai remarqué quelque chose dépassant d’entre ses cuisses… Lorsqu’elle a vu mon regard s’arrêter là, elle les a délicatement écartées, mettant à nu son sexe dont les grandes lèvres débordaient d’au moins trois à quatre centimètres. Ouf ! Si elle ...