Chocolat et Folies Bergères - Histoires de Sexe

Chocolat et Folies Bergères

... cordon retenant mon pantalon et qu’elle me badigeonnait le sexe qui s’était redressé un peu plus.

Me remettant le pinceau entre les mains tout en se pourléchant les lèvres, elle sortit sa grosse langue toute rose, la pointant vers mon gland et elle aspira mon membre d’un seul coup, le faisant buter au fond de sa gorge. Elle suçait ma bite comme une folle qui a peur d’en manquer ou encore que je disparaisse avant qu’elle ait obtenu satisfaction. Elle me pompa le dard sans ménagement, montant et descendant sur toute sa longueur, dardant du bout de la langue le frein et raclant des dents la hampe. Il ne fallut que deux ou trois minutes de ce traitement pour que je lui envoie toute la crème en pleine gueule. Sentant le premier jet de sperme se répandre dans sa bouche, elle m’a retiré et a dirigé les suivants sur sa grosse poitrine, la zébrant de ma crème. La dernière salve répandue, elle a terminé le travail en léchant et suçant les dernières gouttes qu’elle alla presque chercher au fond de mes couilles. Elle se pourlécha alors les lèvres en disant :

— Je ne me souvenais plus du goût du jus de queue d’un homme blanc… Hum, que c’est bon ! J’en prendrais encore deux ou trois giclées, mais il semble que la source se soit tarie. Que je suis malchanceuse !

Je lui ai alors répondu :

— Oui, mais vous me l’avez vidée avec soin et avidité, Miss Ouaga.
— Oui et cela en valait la peine, crois-moi, car mon homme n’est pas toujours disponible pour ce genre de friandise. Il est ...

... vrai qu’il en a plus d’une à satisfaire, le pauvre. Hey, les filles : il y en a qui aimerait un peu de chocolat à la crème ?

Pendant ce temps, les quatre autres dames s’en donnaient à cœur joie, l’une suçant les tétons de sa voisine alors que celle-ci léchait la chatte d’une autre. Quatre corps de femmes allongés à même le sol dont on ne pouvait distinguer qui prenait du plaisir et qui en donnait tellement les gémissements venaient de partout. Seule Miss Ouaga, se léchant les doigts, savourait mon foutre mélangé au chocolat de sa poitrine.

S’apercevant que c’en était terminé de notre côté, Miss Paris m’a fait signe de la main de m’approcher d’elle. Lorsque ce fut fait, elle a glissé gentiment sa main dans l’ouverture de mon pantalon que je venais tout juste de remettre en place et, levant la tête, elle m’a dit :

— Va me laver tout ça, jeune homme… et tu me gardes la prochaine salve. Je ne suis pas venue ici pour regarder le spectacle, mais bien pour le faire. Tu comprends où je veux en venir ?
— Oui, Miss Paris ! Sur mon honneur, vous serez la prochaine qui embrasera mon cœur, c’est promis.
— Mais ce n’est pas ton cœur que je veux, c’est ta bite au fond de mon cul !
— Alors, va pour la bite bien profonde au fond de votre cul…

Me retirant pour aller me nettoyer l’appareil, j’ai cru remarquer que Miss Ouaga n’était plus avec nous : les yeux fermés et la bouche toute grande ouverte, elle soufflait fort, se trémoussant sur sa chaise. Cette belle Africaine avait pris ...