1. 19 mois, 13 jours et quelques heures


    Datte: 20/12/2018, Catégories: fh, hplusag, profélève, amour, amourcach, Auteur: Toubab_7, Source: Revebebe

    ... n’ai pas eu de femme dans ma vie et voilà qu’une étudiante plutôt mignonne va passer la nuit à la maison. Je n’imagine pas du tout de passage à l’acte. C’est inconcevable. Je ne suis pas d’un naturel très entreprenant et ne vois rien qui pourrait jeter une jeune femme d’à peine vingt ans dans les bras d’un presque trentenaire. Mais ça n’empêche pas de fantasmer et, buvant un cognac en attendant que tu libères la salle-de-bain, je sais déjà que je vais m’offrir un petit plaisir solitaire juste après la douche, juste avant le dodo.
    
    À quoi est-ce que j’ai pensé quand tu m’as rejoint nue sous la douche ? A tout. À rien.
    
    — Julie ! Mais… !?
    — Taisez-vous… ça fait si longtemps que j’en ai envie.
    — Mais ce n’est pas possible…
    
    Là, tu poses tes lèvres sur les miennes et colle ton corps au mien. Je reste interdit, sans réaction. Enfin presque. Je n’ai vu ton corps que quelques secondes mais ça a suffit à me faire bander. Et la façon dont mon sexe est coincé entre nous ne fait rien pour l’aider à se détendre. Tu embrasses très bien. Tu m’embrases trop bien. Je sais que si je ne fais rien maintenant…
    
    Alors, dans un ultime sursaut, je m’arrache à tes baisers.
    
    — Mais enfin, Julie…
    — Une nuit, je vous demande juste une nuit. Personne n’en saura jamais rien.
    
    Et, pour éviter toute réponse de ma part, tu me redonnes un baiser long et intense tout en prenant mon sexe en main. Et moi, je laisse tomber toute déontologie, toute éthique, tout morale. «Une nuit… personne n’en ...
    ... saura rien ». Voilà ce qui passe en boucle dans ma tête. «Ni vu ni connu. Tu serais trop con de ne pas en profiter… »
    
    Alors, puisque le mal est fait, j’en profite. J’enserre ta taille et découvre ton corps fin avec les caresses de mes mains et de mes yeux. Ta peau douce et blanche, tes petits seins en poire galbés et fermes, ton ventre plat, le triangle blond de ta toison délicate, et tes fesses… entre la cambrure des reins, la fente qui remonte haut et le rebondi de tes petites pommes, on touche à la perfection. L’un des plus beaux petits culs qu’il m’ait été donné de voir.
    
    Pour l’instant, je vois surtout ton petit minois glisser le long de mon torse et de mon ventre pour venir se frotter à mon membre. Tu me prends en bouche et là… Là, je me dis que je dois rêver. C’est délicieux, merveilleux. Une de mes étudiantes est agenouillée dans ma douche en train de me sucer. Rien que ça suffirait à faire de cet instant quelque chose d’unique. Mais, en plus, tu le fais avec application et gourmandise. C’est trop bon. Ma résistance fléchit rapidement. Ça va partir. Je vais jouir. Je te préviens. Tu me dis oui du regard. Je me laisse aller et éjacule dans ta bouche, mêlant mon grognement à tes soupirs.
    
    Échanger des baisers. Sortir de la douche. S’essuyer l’un l’autre. Échanger de rares paroles. Rejoindre ma chambre. Contempler ton adorable derrière. Glisser sur le lit en s’embrassant. Glisser le long de ton corps. Embrasser ton sexe. Lécher ton sexe. Humer ton sexe. Sentir ton ...
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