Féria
Datte: 19/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hdanus,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... n’échangeant que des banalités. Aucun ne remarque cette gêne évidente. Il faut dire que Patrice, la nuit dernière, a donné un petit coup de canif à leur amour. C’était un accident, mais bien agréable tout de même. Quant à Audrey, elle aussi ne se sent pas très nette. Oh rien de trop grave, mais pourtant…
Dans le lycée, son emploi de pion lui laisse du temps de libre, mais il n’y pas beaucoup d’occasions de s’amuser. Mende est une petite ville, de nombreux élèves habitent dans les villages environnants et sont internes. Les surveillants assurent à tour de rôle toutes les quatre semaines un service de surveillance de nuit. Les horaires sont longs, du soir dix-neuf heures jusqu’au matin sept heures. Il y a deux rondes à faire, mais il faut avouer que ce n’est pas pénible. Le surveillant général habite avec sa famille dans le bâtiment, il fait une inspection à vingt-deux heures afin de s’assurer que tout le monde a éteint, puis rentre chez lui. Les tournées sont prévues à une heure et quatre heures et sont généralement tranquilles. Les dortoirs des filles et des garçons sont dans des bâtiments séparés et isolés, sans moyen de communication. La nuit dernière, un peu excitée à l’idée de retrouver Patrice, elle n’arrivait pas à s’endormir. Aussi, à onze heures et demie, elle décide de faire la première ronde, en avance, ainsi elle reposera un peu plus longtemps avant la deuxième. Elle commence par le dortoir des garçons, appelé encore ainsi bien que ce soit une série de chambres ...
... pour deux élèves. Elle doit simplement s’assurer que tout est tranquille. Ce soir, l’une d’elle est éclairée, elle frappe, ce sont deux jeunes qui jouent encore avec leur « Game boy ». Gentiment, elle leur dit d’éteindre. Ils lui font remarquer qu’elle est en avance sur son horaire. Au fond du couloir, un rai de lumière filtre sous la porte. Elle s’approche et perçoit des murmures dans la pièce. Elle s’apprête à frapper, mais entend une voix féminine :
— Non, pas question de ça, vous êtes fous, si la vieille nous surprenait !
La vieille ! C’est d’elle qu’elle parle. Et en plus une fille dans une chambre de garçons. Elle va leur montrer !
— Oui ! D’accord, comme ça, ça va. Continue, baise-moi bien.
Audrey s’arrête, surprise, choquée et décide de constater ce qu’il se passe, les surprendre et les punir. Doucement elle tourne la poignée et entrouvre la porte sans bruit. Une lampe de chevet voilée éclaire une scène digne d’un lupanar. Une fille étendue sur le lit toute nue, et deux garçons. L’un, couché sur elle la baise consciencieusement. L’autre lui promène son sexe tendu sur le visage. La crudité de ce spectacle la laisse sans voix. Elle reconnaît les participants, tous trois redoublants de terminale, toujours prêts à dissiper la classe. Elle se demandait d’ailleurs quel intérêt ils trouvaient à rester au collège, vu leur manque de travail. Maintenant elle comprend beaucoup de choses. Celui qui baise la fille, l’enserre dans ses bras et fait pivoter leur couple. ...