1. Descente au Paradis (6)


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory

    ... il les attrape, et les pelote tellement fort que la belle en aurait presque mal si elle ne ressentait pas autant de plaisir. Leurs deux fantasmes – engrosser et se faire engrosser – se sont parfaitement rencontrés ; avec une autre personne, pour l’un comme pour l’autre, les choses auraient sûrement été différentes, mais la combinaison de leurs désirs a tout changé. Le regard de Suzanne se perd sur son amant : son ventre tombe presque sur le sien, sa queue entièrement engloutie dans son ventre, prête à y déposer une graine ; ses grosses paluches de bucheron qui lui tripotent la poitrine.
    
    Tout entretient son désir : elle glisse ses mains sur son ventre, entre ses poils, sans même sans rendre compte, le griffant sans le faire exprès. Si elle était en capacité de raisonner, elle ne se reconnaitrait plus...
    
    D’ailleurs, elle hurle de plaisir comme jamais. Il n’y a plus que ça qui compte...
    
    Il n’y a pas de retour possible... Je sens même que ma cramouille se resserre.
    
    — Putain de merde, je suis au Paradis, là !
    
    — Ton sexe est si gros, Marcel... Il va si loin... Il est... Il est prêt ? Prêt à me faire un bébé ? Oh, Marcel... Je t’en prie, continue...
    
    — Putain ! Je vais pas tenir longtemps...
    
    — Oui... Relâche-toi... Mets-moi grosse, Marcel !
    
    — T’inquiète, ma Suzie, ça arrive.
    
    Les ovaires en feu, Suzanne le supplie de venir dans son ventre ; pourtant d’habitude si réservée, si prude, si forte, elle se surprend elle-même à supplier Marcel de l’engrosser. Son ...
    ... comportement n’a plus rien de rationnel, et son esprit se déconnecte complètement. La belle quadragénaire, à mesure que le plaisir monte, perd presque conscience. Elle voit Marcel se pencher sur elle, et l’embrasser ; instinctivement, elle lui rend son baiser et bloque son amant avec ses jambes, l’empêchant de sortir. Sa vue se brouille : le vieillard lui tombe dessus. Il est trempé de sueur, et pue : ses poils en viennent même à coller sur sa peau. Rapidement, la belle quadragénaire s’essouffle : elle se sent comprimée par le poids de son vieux voisin. Ses jambes s’envolent, le plaisir remonte, et atteint son paroxysme.
    
    Marcel donne un dernier coup de reins, s’enfonçant jusqu’à la garde, et jouit. Pendant de longues, très longues secondes, il projette une série de jets tous plus importants les uns que les autres. Suzanne hurle son plaisir alors qu’elle ressent chacun d’entre eux ; la semence brûlante de Marcel s’enfonce dans son ventre, tapisse son utérus fertile de femme en chaleur. Le sourire béat, elle perd connaissance, sans s’en rendre compte. Marcel l’embrasse, à pleine bouche, sans avoir conscience de son état. Au bout de longues secondes, trempé de sueur, il se relève, et s’extirpe du ventre de la belle, ne laissant que son gland dans sa fleur.
    
    — Voilà une bonne chose de faite, hein ? Alors ? Pas mal, non ? Si avec ce que je t’ai mis tu finis pas grosse, je sais pas ce qui te faut.
    
    En se penchant, Marcel attrape un oreiller sur le lit. Il s’extirpe du ventre ...
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