1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... même ! Nous sommes fous. Si l’on nous surprenait !
    
    La voix de Marie-Laure trahissait l’absence totale de remords, mais seulement la crainte d’un horrible scandale. Elle minaudait, une main accrochée au sexe de mon père. Il s’était légèrement déplacé et la lumière filtrée par les rideaux éclairait maintenant le visage de sa partenaire. C’était bien elle ! Son petit air pincé de mijaurée s’était effacé et dévoilait à travers la sueur qui faisait briller son visage et la rougeur qui colorait ses joues, sa véritable nature, du moins celle que je soupçonnais : Marie-Laure sous ses allures de dame patronnesse donneuse de leçon – surtout de bienséance et de moralité – se révélait être la salope sur laquelle je fantasmais depuis que je l’avais épiée, nue, dans la salle de bain. L’adjectif de salope dont je l’affublai n’était, je le comprends aujourd’hui, que le fruit un peu blet de mes fantaisies nocturnes et de ma jalousie.
    
    Elle se faisait baiser par mon propre père, honorable et austère capitaine de corvette reconverti dans le tripatouillage de fonds de pension. Au-delà du ressentiment qui montait en moi, j’étais obsédé par le tableau du couple adultère. Mon père venait de se débarrasser de son pantalon et de ses chaussures à grand renfort de tortillements de hanches et Marie-Laure finissait de déboutonner son sage chemisier blanc à rayures bleues d’où s’échappaient, débordant par-dessus son soutien-gorge, ses deux seins. La tenue de mon père nu, en chemise et chaussettes ...
    ... ajoutait, à mes yeux, au ridicule de la situation. Avec un empressement fiévreux, il s’acharna sur la fermeture éclair de la jupe et la fit glisser le long des jambes potelées puis, avec la même exaltation fébrile, il se saisit du collant et de la culotte auxquels il fit suivre le même chemin. Marie-Laure finissait de dégrafer son soutien-gorge alors que mon père la renversait en travers du lit et, saisissant les chevilles, ramenait les jambes de sa maîtresse contre sa poitrine en les écartant. L’angle, que le trou de la serrure m’offrait, ne me permettait pas, malgré mes tentatives désespérées de voir avec précision la touffe de poils bruns que j’avais observée à travers l’imposte embuée. J’aperçus l’ombre fugace de la fourche mystérieuse quand la tête de mon père, attirée par les mains de Marie-Laure, s’y enfouit avec voracité. Les halètements de Marie-Laure se muèrent alors crescendo en un long gémissement.
    
    — Oh oui, encore, c’est bon… oh oui, oui.
    
    Au bout d’un quart d’heure, satisfait de son ouvrage ou pressé de reprendre son souffle, mon père s’extrayait de l’étau des jambes et se relevait. J’aperçus son sexe, épais, court, noueux comme un bâton de marche. Sans hésitation, l’air martial, il fit un pas et d’une seule poussée s’enfouit entre les cuisses qu’il venait de quitter. Marie-Laure se mit à ahaner à mesure que les poussées du bassin se faisaient plus rudes, plus rapides.
    
    Une cavalcade accompagnée de rires au rez-de-chaussée m’alertèrent et je me redressai ...
«12...8910...21»