Perte de ma virginité
Datte: 18/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
humilié(e),
vengeance,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
pénétratio,
init,
confession,
prememois,
inithf,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... adultérines.
Je rebroussai chemin, soupçonneux. Marie-Laure et mon père… ensemble… faisant l’amour… tout devenait possible. J’ouvris la porte du hall avec précaution, enlevai mes bottes et, après avoir constaté que mon père ne se trouvait pas dans son bureau, je montai sur la pointe des pieds les escaliers qui conduisaient aux chambres. Arrivé sur le palier du premier étage où se trouvait la chambre de Marie-Laure, je m’arrêtai. À l’image du setter familial à l’arrêt, j’essayais de percevoir et d’interpréter chaque son. Pas un bruit. Où pouvaient-ils être ?
Un bruit étouffé au deuxième étage relança ma chasse. Les marches du deuxième étage furent survolées sans le moindre grincement. Arrivé sur le palier, les voix chuchotées se firent plus distinctes. Un rai de lumière se dessinait sous la porte d’une chambre qui ne sert habituellement qu’en cas de surpeuplement estival. La respiration bloquée, à la limite de l’apnée, je m’approchai de la porte et me penchai vers la serrure. Par chance cet étage n’avait pas encore été rénové et l’ancienne serrure laissait aux curieux de mon espèce des possibilités inespérées. Tout en restant attentif au moindre bruit qui m’aurait alerté d’une arrivée intempestive, je collai mon œil au plus près du métal froid. Par chance la clef tournée ne bloquait pas la vue. La première image qui m’apparut, fut celle d’une paire de fesses masculines et d’un pantalon baissé que j’identifiai immédiatement comme appartenant à mon père. Les mains, posées ...
... sur ses hanches et les épaules agitées d’un léger balancement d’avant en arrière ne pouvaient être que celles de Marie-Laure. Inutile d’être un spécialiste du Kamasoutra – et j’étais loin de l’être – pour imaginer la caresse que cette dernière administrait à mon père. La lecture assidue de certaines revues et mes premières expériences sexuelles avec un camarade de dortoir m’avaient déniaisé quant à certaines caresses, mais, à mon grand regret, je ne les avais jamais expérimentées avec une femme.
La bouche grande ouverte pour éviter que mon souffle me trahisse, l’œil écarquillé contre le trou de la serrure, je restai interdit devant cette scène. Ainsi, mon père, ancien officier de marine reconverti dans la banque ; mon père, que sa réputation d’austérité précédait bien avant celle de « bel homme » ; mon père se tapait la mère Marie-Laure. Mon esprit, tout occupé à ses observations évitait de prendre la pleine mesure de cette révélation, se fixant sur les mains manucurées de l’amie d’enfance de ma mère. Les doigts pétrissaient les fesses paternelles, se glissaient entre les cuisses, s’insinuaient même dans la raie du postérieur de mon irréprochable géniteur. Les bruits de succion et les grommellements de satisfaction des deux amants se faisaient plus audibles. Absorbés par leur plaisir, ils avaient oublié la sourdine qui étouffait leur voix.
— Tu crois que c’est raisonnable ? Où est ton fils ?
— Ne t’inquiète pas, il est à l’autre bout du parc, dans la serre.
— Quand, ...