1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... ma semence, avait glissé sur sa nuque et la scène me parut à la limite du ridicule à mesure que je reprenais mes esprits. Mon sexe malgré ma jeune vigueur perdait lentement son exubérance. La sensation de reposer dans un cloaque poisseux se précisait en se rétractant. Les images et les phrases s’entremêlaient dans le bouillonnement de mon jeune cerveau : déniaisé ! J’étais déniaisé, je n’étais plus puceau… plus besoin de mentir par omission lorsque mes amis m’interrogeraient sur mes aventures ; plus besoin de rougir et de prendre le mors quand la mijaurée qui gisait haletante sous mon corps me regarderait avec condescendance.
    
    Marie-Laure se releva, m’obligeant à me redresser. Signe qu’elle revêtait à son costume de scène, elle ramassa sa culotte avec une élégance maniérée, et après l’avoir observée la glissa en boule serrée dans la poche de la jupe qu’elle époussetait.
    
    — Enfin, Patrick, rhabille-toi, tu ne vas pas rester dans cette tenue, cela pourrait devenir choquant !
    
    Je réussis,in extremis, à contenir l’éclat de rire que sa dernière remarque provoquait. Il y a à peine quelques minutes la femme, qui devant moi remettait sa jupe sans culotte, se livrait, vautrée sur une table, ...
    ... aux assauts frénétiques de mes coups de reins qu’elle accompagnait de mots les plus orduriers. J’enfilai sans un mot mes vêtements et m’apprêtai à quitter la serre pour la laisser, par pudeur, remettre un peu d’ordre dans sa tenue, quand elle m’arrêta :
    
    — Tu restes ici, le temps que je me rhabille et que je rejoigne la maison. Ensuite tu pourras sortir.
    
    Elle essaya de faire disparaître, en la frottant, la trace de sperme qui maculait son serre-tête de velours et, devant le manque de résultat de ses tentatives, elle le porta à ses lèvres et humidifia la tâche de la pointe de la langue. Elle rectifia le blousant de son chemisier et avant de se tourner et de se diriger vers la porte, elle s’approcha, plaqua sans un mot une main sur ma braguette et déposa ses lèvres sur les miennes.
    
    La porte de la serre s’ouvrit, elle franchissait le pas quand sa voix vipérine me parvint distinctement bien qu’étouffée :
    
    — Nous nous reverrons, petit salaud !
    
    Elle partit pour Paris le lendemain midi sans un mot et quand, en septembre, je rejoignis ma piaule d’étudiant, je trouvai dans la boîte aux lettres un billet plié en quatre :
    
    — Demain, 18 h, chez moi… il fera moins chaud que dans la serre ! 
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