Perte de ma virginité
Datte: 18/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
humilié(e),
vengeance,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
pénétratio,
init,
confession,
prememois,
inithf,
Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe
... dernier soit masqué par ce qui devait être une sortie de bain accrochée à une patère. Sans bruit, gagné par une excitation qui éclipsait ma peur, je tirai une chaise contre la porte et me hissai jusqu’à l’imposte vitrée.
À mon grand regret, au moment où mon regard plongeait enfin dans la salle de bain, elle avait déjà ôté son maillot de bain. J’aurais aimé voir ses mains dégrafer le soutien-gorge, ses doigts se glisser sous l’élastique de la culotte et ses jambes se lever l’une après l’autre pour s’en débarrasser. Mais la scène qui s’offrait à mes yeux ébahis balaya ma déception.
Marie-Laure, entièrement nue, debout face à la psyché, observait son corps en se tordant, selon un rite si féminin, pour tenter d’apercevoir ses fesses dans la glace. Elle posa une main sur son ventre comme pour en éprouver la fermeté puis soupesa sa poitrine. Ses seins généreux me fascinaient. Lourds, sans mollesse, ils s’affaissaient mollement sans se répandre, ornés en leur centre d’aréoles très sombres, larges et légèrement grumeleuses. Elle posa les mains en conque et les souleva, pinçant et étirant délicatement les mamelons comme pour les libérer de la compression du tissu. Cette scène volée d’une femme au bain déclencha chez moi une érection incontrôlable. Je glissai une main sous la ceinture de mon pantalon et empoignai mon sexe :Sois sage, ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille…
Ma nouvelle Suzanne au bain ôta le chapeau de paille qu’elle avait conservé et l’accrocha à la patère ...
... avant de se diriger vers la douche. Le rideau de coton blanc tiré, il ne me restait que le bruit de l’eau et la vapeur qui envahissait progressivement la pièce.
C’est probablement de cette époque que date mon penchant pour une forme légère et ordinaire de voyeurisme. Au-delà de la transgression de l’interdit social qui protège l’intimité des personnes, la curiosité de voir l’invisible, de dérober à la sauvette un secret, de percevoir ce que l’éducation a exclu, est à mon sens l’un des plus puissants ressorts de l’érotisme. Quoi de plus émouvant qu’une femme à sa toilette, surtout quand l’émotion est tout autant soutenue par la mise en danger de soi-même, tout autant que par l’objet observé.
Adulte, mais encore adolescent sur le plan sexuel, je n’avais pour toute expérience réelle dans ce domaine que la courte, mais intense aventure homosexuelle vécue au pensionnat comme ersatz à l’absence de filles. Pour ce qui était de la nudité féminine et de ses mystères, hors les pages des magazines, je n’avais que la vision fugace et sans préméditation, d’une de mes cousines se déshabillant. Encore que l’entrebâillement d’une porte mal fermée ne m’avait permis d’entrevoir qu’une tendre paire de fesses roses vite recouvertes par le coton d’une culotte. Marie-Laure, à mes yeux, était, une vraie femme, une femme mûre qui avait été mariée et devait donc être expérimentée.
Sortie de la douche Marie-Laure s’enveloppa à mon grand regret dans une serviette qu’elle noua au-dessus de sa ...